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arité de l’œuvre entière. Mais bien peu en ont eu
connaissance
, et moins encore se sont risqués à en parler. Rien d’étonnant d’aille
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té ne prend mesure que de ce qu’il transforme. Sa
connaissance
est acte et vision prophétique. La mesure du temps de sa vie réside d
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aggrave cette faute. Ainsi : conscience du péché,
connaissance
de la fin et de l’origine, obligation d’agir pour racheter le mal com
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vable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droite
connaissance
de Dieu naît de l’obéissance », écrit Calvin. Et que serait une obéis
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llé à ce qu’elles fussent connues de tous. Cette
connaissance
produit parmi nous une admirable conformité, parce que rien n’est si
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t technique : la sagesse de Salomon n’est pas une
connaissance
des « causes » mais bien des « signatures » naturelles. Elle ne veut
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qu’à celui qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la
connaissance
de soi-même et de la connaissance de la foi. Luther insiste sur cet «
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extrêmes de la connaissance de soi-même et de la
connaissance
de la foi. Luther insiste sur cet « extrémisme » évangélique, que les
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verse, il faut oser descendre jusqu’au fond de la
connaissance
du péché pour voir qu’il n’y a de liberté possible que dans la grâce
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e réalité immédiate à l’acte, c’est évidemment la
connaissance
. Non seulement la pensée est acte, mais elle est ce qu’il y a de plus
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e que pour qui refuse d’aborder le problème de la
connaissance
à partir de l’acte. Mais, au contraire, la science, considérée mainte