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ion. On dirait qu’il incite ses héros à pratiquer
contre
la vie bourgeoise une espèce de « grève perlée » : c’est à force de c
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C’est la vision et le visage du héros, sa vision
contre
son visage, sa vision qui crée son visage. Le visage appartient au te
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u’il sait trop bien que lui vaudront ses attaques
contre
l’Église établie. 20. Ce qui est particulièrement affligeant dans l’
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au hasard ceux qui veulent défendre « l’esprit »
contre
les menaces dites matérialistes, je constate qu’on entend par ce mot
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e simple équivoque sémantique dresse parfois l’un
contre
l’autre deux hommes qui auraient dû « s’entendre » et s’allier : c’es
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ères, activité concrète et créatrice, et garantie
contre
les préjugés intéressés. « Voyez, gémit Alice, l’arceau sous lequel j
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régime. Elle est à tout le moins vérifiable. Par
contre
, on peut très nettement constater le déficit que représente pour la c
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rhéteurs, ils perdent leur autorité et suscitent
contre
eux des révoltes qui s’expriment dans des langues nouvelles, au détri
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emble et ils sont seuls. Ils sont pressés les uns
contre
les autres et étrangers. Ils échangent des paroles en plus grand nomb
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as pour l’homme, le diable le fait à sa place, et
contre
l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal co
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al déguisé par la IIIe Internationale) ; la lutte
contre
l’État, et en même temps, le capitalisme d’État de Lénine ; l’expropr
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, avec le mouvement du chrétien (qui est sa lutte
contre
le péché) les plus frappantes analogies ? Sur ce plan seul, il m’appa
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l’homme, et ne le peut pas. Car elle est divisée
contre
elle-même, et fait de l’homme qui s’abandonne à elle un être antinomi
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forme — dressera donc le chrétien et le marxiste
contre
toute espèce de statisme, contre toute spéculation idéaliste, détaché
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n et le marxiste contre toute espèce de statisme,
contre
toute spéculation idéaliste, détachée et inactuelle, et contre toute
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spéculation idéaliste, détachée et inactuelle, et
contre
toute activité qui ne concourrait pas, d’une façon ou d’une autre, à
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à changer quelque chose, — à lutter efficacement
contre
le mal universel. Cette volonté fondamentale de transformation, je la
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nt bien de toucher à l’extérieur. Marx dira donc,
contre
eux, qu’il faut d’abord transformer l’extérieur — et le reste suivra
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lle s’est faite, que par une action du chrétien :
contre
le monde dans sa forme présente, et pour le monde restauré dans la Pr
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age. L’enfant qui rate son coup, ou qui se heurte
contre
un meuble, se fâche contre les choses et les rend responsables. Il cr
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coup, ou qui se heurte contre un meuble, se fâche
contre
les choses et les rend responsables. Il croit que c’est elles qu’il f
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’a pas cette tragique naïveté. Il ne se fâche pas
contre
l’Empire romain, et ne désigne pas sa destruction comme premier objec
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iastes, c’est qu’il s’est trouvé seul à protester
contre
le monde tel qu’il va. On dira : c’est d’abord qu’il a su rejeter sur
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mais notre faute, et tout d’abord la mienne.) Par
contre
, quand je reproche au marxisme sa déviation matérialiste actuelle, je
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licité. L’État totalitaire ne saurait s’instaurer
contre
l’opinion générale. Celle-ci se laisse séduire par les seuls construc
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e fut la lutte d’une royauté déjà « totalitaire »
contre
des groupes, loyalistes il est vrai, mais réfractaires à certaine mis
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se, Hollande). En Allemagne, la lutte des églises
contre
l’emprise morale de l’État fut menée, on le sait, par Karl Barth : c’
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t en vérité la croisade du matérialisme hypocrite
contre
le matérialisme généreux. C’est aussi la croisade des fascismes contr
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e généreux. C’est aussi la croisade des fascismes
contre
leur frère, le stalinisme : une guerre de religions qui ne sont pas l
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s qui ne sont pas les nôtres. Je prends ici parti
contre
une telle entreprise, pour les mêmes raisons, mais aggravées, qui me
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s, mais aggravées, qui me faisaient prendre parti
contre
le régime communiste. On nous donne à choisir entre deux sortes de ma
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e communisme, au moins, voulait changer le monde…
Contre
les arguments démagogiques de nos croisés, je répète, après Berdiaev,
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ité du spirituel. Nous n’avons pas à nous dresser
contre
la « vérité » déviée de Marx, contre une vérité orpheline, coupée des
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nous dresser contre la « vérité » déviée de Marx,
contre
une vérité orpheline, coupée des liens vivants qui l’attachaient en D
35
s les domaines de la vie. La seule lutte efficace
contre
le matérialisme, c’est la lutte qu’il nous faut mener contre la tenta
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atérialisme, c’est la lutte qu’il nous faut mener
contre
la tentation spiritualiste. 41. « Le communisme n’est pas pour nou
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u profit d’on ne sait quel futur. Et une angoisse
contre
laquelle il est fatal que l’on cherche à se protéger par quelque chos
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e sa grandeur, c’est la révolte du destin profane
contre
la vocation libératrice. Et de même que cette révolte, et ce destin,
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qui se nomme « jaloux », les Prophètes se lèvent
contre
eux et dénoncent leur idolâtrie66. Remarquons que la notion d’idolâtr
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profane se voit assimilée à une révolte d’orgueil
contre
Dieu. La culture d’Israël sera pauvre à raison même de sa pureté. Sa
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qui rappellent le peuple au culte du vrai Dieu —
contre
les prêtres des dieux étrangers — mais aussi ceux qui dénoncent les e
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ur de l’éternel ressentiment de la race allemande
contre
la civilisation romaine. On a poussé la bouffonnerie jusqu’à cet excè
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C. M. — Certes, mais ma dignité consiste à lutter
contre
de telles forces, une fois que je les ai reconnues ; à m’affirmer dan
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rêt, un retour sur l’acte, c’est-à-dire un retour
contre
l’acte, qui en neutraliserait aussitôt le dynamisme. La réflexion sur
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de Kierkegaard, comme « un attentat métaphysique
contre
l’éthique ». Il faut, certes, que l’homme trouve des points d’appui e
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riller son éclair que bien rarement. Les conflits
contre
le temps, contre l’espace, contre la matière, qui reprennent ici en t
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que bien rarement. Les conflits contre le temps,
contre
l’espace, contre la matière, qui reprennent ici en tant que résistanc
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t. Les conflits contre le temps, contre l’espace,
contre
la matière, qui reprennent ici en tant que résistance à l’effort une
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a personne humaine, respect de la vérité et lutte
contre
la tyrannie de l’argent. Louis E. Galey, Jacques Madaule, Jean Maze,
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temps les hommes sont sur la place et protestent
contre
le gouvernement. Ce sont les radicaux et les socialistes. Les commerç
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onnés, des assurés qui vivent dans la rouspétance
contre
ces « cochons-là » et dans la crainte de la vieillesse. On travaille
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. Ce peuple à la retraite qui meurt en rouspétant
contre
les bureaucrates ne sait plus bien ce qu’il craint davantage : de la
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toucher du bois, la bouteille de champagne brisée
contre
la coque des bateaux neufs, etc. Un geste résume toute la situation :
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nt parti. Mais l’électeur veut qu’on soit pour ou
contre
, et il se méfie par principe de celui qui distingue et nuance. On ne
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s, de mettre en épigraphe à mon article : Je suis
contre
. Sinon, pour peu que l’article expose le pour et le contre, quelle qu
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inon, pour peu que l’article expose le pour et le
contre
, quelle que soit d’ailleurs ma conclusion, on me classera fasciste ou
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ais pu concevoir pour dresser les humains les uns
contre
les autres. Et qui, ou quoi, pourrait nous en guérir ? — Commençons p
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» représente alors ce journal ! Leur seule force
contre
les capitalistes et surtout contre leurs suppôts, ces retraités radic
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ur seule force contre les capitalistes et surtout
contre
leurs suppôts, ces retraités radicaux ou socialistes, ce serait d’êtr
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sistance à l’état tentaculaire. (Quant à la lutte
contre
le capitalisme, tout le monde en est, ou feint d’en être ; c’est bien
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rès facile. Elle n’a qu’un argument très puissant
contre
nous : sur qui et sur quoi tablez-vous ? nous dit-elle, sur quelle cl
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et la littérature (17 avril 1937)n Pour lutter
contre
le fascisme, les communistes paraissent avoir compris qu’il faut défe
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de 1922, il loue cependant un poème de Maïakovski
contre
les bureaucrates. Je n’appartiens pas, dit-il, aux admirateurs de so
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a culture, et d’une culture créatrice, novatrice,
contre
ses fossoyeurs totalitaires, et contre ce distributeur de prix à l’Ac
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novatrice, contre ses fossoyeurs totalitaires, et
contre
ce distributeur de prix à l’Académie de l’Armée rouge, l’homme des «
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par là qu’il le tient. Peter lui donne son ombre
contre
une bourse magique, d’où il pourra tirer un or inépuisable. Désormais
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blent détenir le secret, jalousement, méchamment,
contre
lui ! Un secret, ce l’est bien pour eux, comme toutes les choses trop
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ême, d’où l’impression qu’il a d’être mal défendu
contre
les regards qu’il rencontre, transparent dirait-on, — sans ombre ! Vo
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vivre et de créer sa vérité — bonne ou mauvaise —
contre
les fous totalitaires de droite ou de gauche, leurs guerres et leurs
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analyse du désespoir considéré comme une révolte
contre
Dieu. De sa fortune, il ne voulut tirer nul intérêt : il la confia à
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plus tard, accablé par la lutte qu’il menait seul
contre
tous, il tombait d’épuisement au cours d’une promenade en ville. On l
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accompli sa mission, ce fut l’attaque qu’il mena
contre
l’Église établie et contre dix-huit siècles de chrétienté officielle
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t l’attaque qu’il mena contre l’Église établie et
contre
dix-huit siècles de chrétienté officielle — attaque contre le « monde
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x-huit siècles de chrétienté officielle — attaque
contre
le « monde chrétien » au nom du Christ des évangiles. ⁂ Toute mon act
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l’impossible, toute une œuvre de sarcasmes précis
contre
les innombrables tentations d’une religion qui n’est pas Dieu ; et so
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njurie, on se débat sous son regard, on argumente
contre
sa souffrance, on craint pitié corrosive. Finalement on se rend et il
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nquise aux dépens de tout ce qui soutient l’homme
contre
Dieu. Et cependant, dans le pire désespoir, jamais de défi, ni d’« hy
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poque comme la plus formidable accusation vivante
contre
nos lâchetés collectivistes, nos compromis spirituels, nos passions c
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à payer ses logeuses successives, et les remèdes
contre
ses effroyables maux de tête. De plus, il était à demi aveugle… Con
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village. De nouveau le noir, et l’écho de mes pas
contre
les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse