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t aussi ! Si vous voulez interroger, interrogez ;
convertissez
-vous et revenez ! » La forme du monde est durée, et c’est la forme du
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terroger, interrogez ! », mais la réponse est : «
Convertissez
-vous ! » À la lumière jaillie de l’acte de la foi, le mystère du temp
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affirmation tout évidente. Non seulement l’homme
converti
devient transformateur du monde — ou sinon il n’est pas converti — ma
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t transformateur du monde — ou sinon il n’est pas
converti
— mais encore toute transformation de la forme actuelle des choses, q
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gage du salut total ? Alors, va-t-on, si l’on est
converti
, laisser le monde aller son train, et les guerres se déchaîner, et le
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ourir de faim ? Ce serait prouver qu’on n’est pas
converti
. J’agirai donc, toutefois non pour le monde, et non pour sauver quelq
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« conversion » le fait bien voir. Un homme qui se
convertit
au christianisme, c’est un homme qui reçoit et qui saisit la Révélati
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it accompli d’une révolution humaine. Le chrétien
converti
commence donc par la fin que visait l’espérance communiste. Il possèd
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alors, il attaque le monde ! Mais un homme qui se
convertit
au communisme ne se rattache pas à une Présence actuelle. Il fait un
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rence, non moins radicale et urgente. Le chrétien
converti
a déjà l’essentiel : par là même, il se voit contraint à chaque insta
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l’ensemble de tous les croyants, gentils ou Juifs
convertis
, donc l’Église — héritage humain, d’autre part, de cette notion de la