1 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
1 de la famille puis sa réfection systématique ; la critique acerbe de la SDN puis l’entrée dans cet organisme ? Tout cela peut s’
2 ée dans l’homme pour être atteinte par une simple critique philosophique47. Or cette critique philosophique est la seule arme do
3 par une simple critique philosophique47. Or cette critique philosophique est la seule arme dont il disposerait sur le plan de l’
4 s à côté de ce qui est essentiel chez Marx. Je ne critique pas une erreur contingente. Je ne dis pas : vous n’êtes pas assez mar
5 Erreur sur la personne — dans mon vocabulaire. Ma critique porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste por
6 e porte sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste porte sur un christianisme dénaturé. Et l’essentiel du marxi
7 , c’est-à-dire Barth et Marx !54 C’est ici qu’une critique proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites
8 u communisme n’est justiciable, en soi, que d’une critique politique, économique, historique, etc.55 Et je ne vois pas que le ch
9 ce qui tombe directement sous le coup de la seule critique théologique, ce sont les buts derniers du communisme et les postulats
10 et abstrait » (Thèses sur Feuerbach). 43. Marx, Critique de la philosophie hégélienne du droit. 44. Au sens le plus large du
11 vu le grand réveil piétiste. 47. « L’armée de la critique ne peut évidemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique
12 ée de la critique ne peut évidemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en
13 idemment remplacer la critique des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en user, certes, mais elle ne
14 Christ. La « doctrine » n’est ainsi qu’une mesure critique que l’Église prend de son message sous le rapport de sa fidélité à so
15 Révolution nécessaire, par Aron et Dandieu, et sa critique de la notion d’échange chez Marx.) 56. « Les pharisiens lui ayant de
16 opium. Un tel fait donne raison en apparence à la critique marxiste. En vérité, il ne donne tort qu’à l’homme, non à la foi dont
2 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
17 rier. » J’extrais cette déclaration du livre d’un critique littéraire connu, dont les revues n’hésitèrent pas lorsqu’il parut (e
3 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
18 . La merveilleuse subtilité d’une certaine pensée critique , aujourd’hui, ne donne-t-elle pas exactement cette impression ? Ne po
19 ’heure éprouver en face d’une conception purement critique , ou idéaliste, ou relativiste, de l’activité du philosophe. ⁂ Mais ce
20 istorique, ou encore à une autonomie de la raison critique . Division qui a pour effet, généralement, de volatiliser les points d
4 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
21 remières » offrant toute garantie ; 2° une partie critique . C’est une sorte de revue de presse commentée. On y relèvera les cont
5 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
22 vants parce que c’était commode, et parce que les critiques sont admirablement disciplinés. (D’ailleurs, tous se connaissent trop
23 illeurs, tous se connaissent trop bien : auteurs, critiques et éditeurs ; pratiquement, la franchise n’est pas possible.) De ces
6 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
24 d’un article de M. Vandérem (dans Candide) où la critique des critiques actuels que j’avais esquissée, ici même, se trouve cité
25 de M. Vandérem (dans Candide) où la critique des critiques actuels que j’avais esquissée, ici même, se trouve citée et commentée
26 te de tous les aléas que représenteraient pour la critique un chambardement de ce genre. Ce serait toute une série de notions à
7 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
27 aison très précise et qui n’a rien à voir avec la critique littéraire. À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis