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ême du désespéré consiste dans ses liens, dans sa
croyance
à la réalité des liens et de la masse, à la réalité des autres dans l
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xactement symétrique de celui des idéalistes : la
croyance
que si l’on change l’ordre des choses, on change automatiquement la r
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militant, ont tenté la synthèse pratique des deux
croyances
, qu’ils estimaient complémentaires. D’autres, plus nombreux qu’on ne
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té. Il me paraît que l’opposition finale entre la
croyance
marxiste et la foi personnelle du chrétien suffit à expliquer tout le
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le tout de l’homme ; tandis que l’immanence de la
croyance
marxiste renvoie sans cesse le fait humain total dans un avenir indéf
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ns leur action, et qu’elle n’a rien changé à leur
croyance
ou plutôt à leur incroyance. Tout de même, on se dit souvent que ces
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! Il arrive souvent qu’un étranger s’initiant aux
croyances
d’un peuple soit le premier saisi par ce frisson d’absurdité que l’on