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e juge incorruptible et amical du héros et de son
débat
, ce personnage a vécu dans ce siècle, où son nom ne cessera de grandi
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vraiment l’usage : un sens commun. La plupart des
débats
qui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de lit
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né dans la conversation courante ; tandis que les
débats
politiques ou électoraux abondent en confusion de cette espèce et s’e
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e a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le
débat
du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboli
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raité que nous publions : je le vois au centre du
débat
occidental par excellence, mais au centre, aussi, de la Réforme, et d
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isme mesuré l’empêche de voir le vrai tragique du
débat
. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps m
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e même, et qui, par ailleurs, peut éclairer notre
débat
: « L’éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer
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À la fin, un des communistes se lève et résume le
débat
: « En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu, nous autres, ce
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e : on le souffre. On l’aime, on l’injurie, on se
débat
sous son regard, on argumente contre sa souffrance, on craint pitié c