1 esprit, si j’interroge au hasard ceux qui veulent défendre « l’esprit » contre les menaces dites matérialistes, je constate qu’o

2 qui est grave, c’est de voir tant d’intellectuels défendre ces manœuvres au nom de la doctrine, et les justifier à tout coup (av

3 persécution brutale, que les églises calvinistes défendaient alors, par principe, un régime fédéraliste. Mais si nous remontons pl

4 Marx) et la guerre (pour peu qu’elle soit censée défendre l’URSS). 60. Je n’entends pas porter ici un jugement quelconque sur

5 s ils s’engagent, dans les « clubs de presse », à défendre les principes qui leur sont communs : primauté de la personne humaine

6 lesquelles s’édifiait la culture. M. de la Rocque défend ce qu’il appelle « la primauté de l’esprit ». Il fait placarder des a

7 de l’esprit, où il est question à chaque page de défendre la liberté. Dans l’état présent du langage, de la culture, et de la p

8 ut être à peu près certain que ces deux messieurs défendent en réalité le contraire de l’esprit et de la liberté, c’est-à-dire qu

9 de l’esprit et de la liberté, c’est-à-dire qu’ils défendent l’un et l’autre un régime d’étatisme oppressif et de dictature de l’é

10 e redoutent rien tant que l’œuvre à thèse. Ils se défendent de toutes leurs forces d’avoir une métaphysique, une idéologie déterm

11 que la jeunesse actuelle ne marche plus pour les défendre . La crise du livre, dont tout le monde parle, c’est d’abord la crise

12 urtout vaine, ils en viennent à s’imaginer qu’ils défendent eux aussi les « petits » en défendant ces exploiteurs de la bassesse

13 s communistes paraissent avoir compris qu’il faut défendre la culture. Le malheur est qu’ils n’envisagent pour cette défense que

14 et lui-même, d’où l’impression qu’il a d’être mal défendu contre les regards qu’il rencontre, transparent dirait-on, — sans omb

15 egaard (40 volumes en douze années). Pensée qu’il défendit et qu’il servit de toutes les forces de son génie universel de poète,

16 . « Fric », « bagnoles », « Paris-Soir », « on se défend … » La grosse petite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai déser