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s choses sous d’autres noms, des mystiques et des
dictateurs
. Les lieux communs sont morts et embaumés : déjà, on leur fait des mu
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a vérité, et ne croire plus qu’à la tactique d’un
dictateur
, lequel changera la vérité tous les six mois. Mais alors de quoi donc
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aut une discipline. Pour la maintenir, il faut un
dictateur
. Libre aux bourgeois, aux scrupuleux, libre au camarade Gide lui-même
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les à la foule. Mais Paul était apôtre et non pas
dictateur
. C’est pourquoi son message nous est encore prêché. Il annonçait aux
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usage courant. (Staline dit : « Je ne suis pas un
dictateur
» ; Mussolini fait la conquête de l’Éthiopie au nom de ce qu’il appel
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’anarchie. D’autre part, sauront-ils s’opposer au
dictateur
qui se présentera un jour comme l’homme de gauche à poigne ? J’ai que
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rs non point des écrivains mais des Don Juan, des
dictateurs
, des milliardaires ou des saints. Croyez-moi, ce que nous vous donnon