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on toujours future. Je marquerai encore une autre
différence
, non moins radicale et urgente. Le chrétien converti a déjà l’essenti
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et de l’éternité souveraine, demeure entière. La
différence
, c’est que Nietzsche nous propose d’adorer un Destin muet, tandis que
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C’est cela qui crée des groupes, des couches, des
différences
et des affinités, au moins autant que les conditions économiques. On
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sion sur l’incroyance. L’orateur avait dit que la
différence
entre les chrétiens et les incroyants, ce n’est que pas les chrétiens
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aliste, c’est-à-dire : fédéraliste. Il exalte les
différences
en ce qu’elles ont de créateur. Il veut une organisation de la cité q
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s tant de gens « font les importants ». Où est la
différence
? C’est que le sérieux vrai est en définitive dans le seul acte de fo
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et d’articles. Ce qui est certain, c’est qu’à la
différence
de Nietzsche, personne ne parviendra jamais à « utiliser » Kierkegaar