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doute qu’un Meyerson sont sérieusement compris et
discuté
par beaucoup plus de personnes que Descartes n’en convainquit de son
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ement, un simple opportunisme ? Que sert alors de
discuter
, de confronter ? « Rien ne sera juste à cette balance » (Pascal). Je
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te ou on le refuse, en vertu d’une décision pure.
Discuter
ne peut nous conduire qu’au seuil de cette décision. Et nous n’aurons
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de tout ce qui n’est pas « intellectuel » — ne «
discute
» pas à proprement parler. Son langage en tout cas s’y prête mal, soi
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hes ! — Et chez eux, les voyez-vous ? Pouvez-vous
discuter
avec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout les femmes qu’on voit.
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y viennent ? — Bien sûr, le maire en tête. Et ils
discutent
, et même très bien. Je me rappelle par exemple une discussion sur l’i
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position. Quant à la doctrine, c’est difficile à
discuter
, d’abord parce qu’ils la connaissent mal, ensuite et surtout parce qu
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e, violacé d’ordinaire, en est tout pâle. Je vais
discuter
le coup avec lui pour le ravigoter. C’est un de ces Méridionaux qui n
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de qu’ils veillent à tour de rôle, ils sont venus
discuter
dans la remise qui est au-dessous de notre chambre, et leurs éclats d
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hef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal,
discuter
passionnément, trouver une formule d’apaisement qui ménage toutes les
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« de ne point perdre leur temps et leurs forces à
discuter
avec leurs adversaires ». Il leur demande ensuite de prendre le pouvo
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ésarmer autant que possible les adversaires, donc
discuter
. Au surplus, je ne sais pas si le terme d’adversaire convient à M. Pi