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lus d’être que par la foi, « substance des choses
espérées
», et c’est pourquoi la Parole, parmi nous, n’est que promesse et vig
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orelle. Et c’est la « foi », substance des choses
espérées
, qui permet seule de supporter les maux que l’on endure au nom du but
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lle incarne : « Préparer les voies du Seigneur »,
espérer
et prêcher le Messie, attendre activement l’invisible et plus que cel
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de « la vie… ». Profitant de mon innocence, que j’
espère
d’ailleurs provisoire, — je vieillirai — je voudrais dire ceci à M. V
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désespéré, mais c’est à cause de la foi. Et s’il
espère
, c’est « en vertu de l’absurde », c’est-à-dire de l’incarnation de Di