1
es et préoccupations sociales, les lectures qu’il
fait
à son ami, la brève idylle de Weimar… tout cela compose une descripti
2
dès lors tout devient étrangement signifiant, le
fait
divers s’agrandit peu à peu aux proportions d’une parabole de l’exist
3
stence. Ou bien c’est le contraire : partant d’un
fait
inexplicable et monstrueux23 survenu dans la vie de son héros, Kafka
4
ère la plus logique sitôt qu’on les rapporte à un
fait
initial mystérieux et d’apparence extravagante. Derrière cette psycho
5
re là-dessus… Mais en voilà sans doute assez pour
faire
entrevoir au lecteur l’arrière-plan et les prolongements de l’aventur
6
l’aventure du « vieux Pragois », héros non tout à
fait
imaginaire, lui aussi, du Royaume enchanté de l’amour. 22. Le Proc
7
, toutes les démonstrations savantes qu’on nous a
faites
depuis un siècle pour nous prouver que l’acte est impossible et que l
8
rme de toutes les normes. Au premier pas que nous
faisons
dans notre nuit, voici que le chemin s’éclaire et que les perspective
9
ute et à l’orgueil, mais que parfois la prophétie
fait
briller devant lui comme un éclair. « Sachez qu’à l’origine, — lit-on
10
u lieu d’écouter l’ordre, au lieu de croire et de
faire
un pas dans la nuit, sur ce « chemin » qui est le Christ présent. Il
11
st le doute qui s’interpose entre le savoir et le
faire
, et c’est la lâcheté de l’homme qui se repose sur ses œuvres et qui l
12
rg ou de la classe. Comment cet homme pourrait-il
faire
un acte ? Car l’acte est décision, rupture, isolation, quand l’être m
13
es dans l’ensemble. Comment cet homme pourrait-il
faire
un acte ? Car l’acte est immédiat, création et initiation, c’est-à-di
14
r. Il faudrait donc… la créer ? « L’homme ne peut
faire
qu’une seule chose en toute sobriété, c’est l’absolu »17. Entre le dé
15
découverte » par les psychologues de ce qui « se
fait
se faisant » est une antilogie chrétienne au premier chef, et non pas
16
rte » par les psychologues de ce qui « se fait se
faisant
» est une antilogie chrétienne au premier chef, et non pas hindoue, c
17
ie. Rien ne serait plus ridicule que de tenter de
faire
la psychologie d’un prophète, ou bien alors elle se réduirait à la gr
18
l rejette sa mission d’écrivain religieux pour se
faire
pasteur de campagne, par exemple. C’est, dit-il, que sa consigne est
19
gagner à sa façon, et que les autres trichent ou
font
défaut. N’est-ce pas la partie de croquet dans Alice au pays des merv
20
variés, un sens prépondérant sur lequel puisse se
faire
l’accord. Or, sans parler des 29 sens que Littré donne, pour le seul
21
j’allais jouer. » ⁂ Tout le monde ou presque veut
faire
une révolution. Mais là, aux neuf sens très précis que nous donne le
22
raux, par la presse d’opposition, par Staline qui
fait
taire cette presse au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le D
23
ndes masses à la vie de l’esprit me paraît tout à
fait
improbable dans l’état actuel du régime. Elle est à tout le moins vér
24
ssairement la ruine de la communauté, par le seul
fait
qu’il ruine le langage. Cette absence d’un principe communautaire vi
25
détruit, quand elle n’est plus le don qu’un homme
fait
à un homme, et qui engage quelque chose de son être, c’est l’amitié h
26
estrale : dans les villes. Mais ce que l’homme ne
fait
pas pour l’homme, le diable le fait à sa place, et contre l’homme qu’
27
ue l’homme ne fait pas pour l’homme, le diable le
fait
à sa place, et contre l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin
28
ain, et sans le savoir, dans la cité qu’on nous a
faite
. C’est une faim, une soif, une nostalgie que tous nos gestes, à notre
29
rant du vrai Dieu, les prêtres donnent des idoles
faites
à l’image des terreurs de l’homme. Dans le culte de ces images, le pe
30
ux communs sont morts et embaumés : déjà, on leur
fait
des musées. Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette générat
31
gent et l’État. Gîovinezza ! Tod den Juden ! Nous
ferons
mieux que l’Amérique ! Achetez français ! Passez vos vacances à la me
32
assez vos vacances à la mer ! C’est avec ça qu’on
fait
les bons fascistes, les bons nazis, les vertueux komsomols, les petit
33
el, cette alliance du peuple avec sa vocation qui
faisait
la grandeur des cultures authentiques. Elle est devenue la loi inexor
34
URSS par exemple. Constatez, comme beaucoup l’ont
fait
(qui sont sans aucun doute les plus honnêtes), que la dictature de St
35
e plus de sa suppression future. Au contraire, il
fait
fusiller ceux qui en parlent. On vous répond que c’est une nécessité
36
entrevoir ce que signifie : dialectique. C’est en
fait
, l’obéissance au parti, l’obéissance aveugle à Staline, dépositaire u
37
ut pas. Car elle est divisée contre elle-même, et
fait
de l’homme qui s’abandonne à elle un être antinomique, « divisé », et
38
tte aliénation de soi », qui selon Marx serait le
fait
de toutes les sociétés passées, y compris le communisme primitif, cor
39
rx sur Feuerbach affirme : Les philosophes n’ont
fait
jusqu’ici qu’interpréter diversement le monde ; or il s’agit maintena
40
obéit à l’Esprit, pour Paul, et en tant que l’on
fait
la révolution, pour Marx). Il s’agit donc d’action. Il s’agit d’attes
41
monde d’abord, — et l’homme par lui. C’est sur le
fait
de cette opposition centrale qu’il importe d’être bien au clair, si l
42
lui. C’était une « affaire privée » ; et Marx n’a
fait
que le constater. Elle n’empêchait nullement de faire des affaires. N
43
t que le constater. Elle n’empêchait nullement de
faire
des affaires. Ni d’opprimer les ouvriers. Ni d’appeler justice, au be
44
it » — bref qu’il n’est en somme qu’une tactique.
Faisons
de nécessité vertu. Proposons-nous de changer les choses et leurs rap
45
et la bourgeoisie donc ! — répète que l’habit ne
fait
pas le moine, et que l’argent ne fait pas le bonheur. Pratiquement, i
46
l’habit ne fait pas le moine, et que l’argent ne
fait
pas le bonheur. Pratiquement, il croit dur comme fer que l’habit fait
47
Pratiquement, il croit dur comme fer que l’habit
fait
le moine et que l’argent fait le bonheur. Marx vient lui expliquer en
48
mme fer que l’habit fait le moine et que l’argent
fait
le bonheur. Marx vient lui expliquer en 15 volumes — dont on a fait d
49
arx vient lui expliquer en 15 volumes — dont on a
fait
des résumés — qu’il a raison de croire cela. Bien plus, Marx vient lu
50
ent le contraire, et qui prêchent que l’argent ne
fait
pas le bonheur, sont simplement des exploiteurs, qui ont l’argent et
51
et qui veulent le garder — justement parce qu’il
fait
leur bonheur ! Alors, il n’y a plus qu’une seule voie : instituons le
52
plan quinquennal, créons une industrie puissante,
faisons
mieux que l’Amérique, devenons encore plus riches, car l’argent distr
53
Évangile, ne peut donc se traduire, si elle s’est
faite
, que par une action du chrétien : contre le monde dans sa forme prése
54
qu’il faut changer. Il bat la table, comme Xerxès
faisait
battre l’Hellespont. C’est ce préjugé infantile que le marxisme devai
55
ience plus fidèle, partant plus douloureuse de ce
fait
, je crois qu’ils éviteraient d’attaquer le marxisme dans les mêmes te
56
hoses changent. Ce que tu me reproches, c’est, en
fait
, de n’être pas assez chrétien ! Tu m’incites donc à le devenir davant
57
cien ! Si tu dis que le chrétien est celui qui ne
fait
rien, tu prouves simplement que tu ignores tout du christianisme. » (
58
int dans la mesure où l’on trahit le marxisme, on
fait
une erreur fatale, irrévocable, aujourd’hui manifeste. Erreur sur l’h
59
seule capable de marquer les limites existant en
fait
, et les distinctions décisives. La pratique du communisme n’est justi
60
tre siècle ? Le phénomène de la « conversion » le
fait
bien voir. Un homme qui se convertit au christianisme, c’est un homme
61
ès maintenant, elle porte témoignage en faveur du
fait
accompli d’une révolution humaine. Le chrétien converti commence donc
62
me ne se rattache pas à une Présence actuelle. Il
fait
un pari dont l’objet n’est pas accessible aujourd’hui. Il mise son ac
63
aujourd’hui. Il mise son action immédiate sur un
fait
qui n’est pas accompli, l’histoire n’ayant jamais connu de réalisatio
64
qu’il éprouve devant les injustices présentes, du
fait
qu’il croit que l’intérêt de l’homme est seul en jeu — et de l’homme
65
es intérêts de l’Église chrétienne, détruirait en
fait
cette Église en tant qu’elle vit dans chacun de ses membres, et non p
66
xisme, plutôt qu’un reste d’humanisme libéral. Le
fait
est que la grosse majorité des communistes suit Staline. D’où il résu
67
oins un militant suspect. Tout cela repose sur un
fait
unique, que nous pouvons formuler simplement : la fin dernière du chr
68
enir absolument hétérogène aux actions qu’il peut
faire
aujourd’hui, dans un ordre non socialiste. Par où l’on voit qu’en dép
69
nce de la croyance marxiste renvoie sans cesse le
fait
humain total dans un avenir indéfini, et n’engage que certaines dispo
70
euse. Et j’entends bien que les sacrifices qu’ils
font
ne sont pas seulement « spirituels », entraînent des risques financie
71
des suites sociales et politiques qu’implique en
fait
leur attitude ? Et je pense en particulier aux membres du Mouvement d
72
fusent-ils de s’occuper de politique ? Comment se
fait
-il qu’un grand nombre d’entre eux s’en désintéressent pratiquement ?
73
tiquement ? Ils me disent : « On ne peut pas tout
faire
! Quand beaucoup d’hommes seront changés, beaucoup de problèmes se po
74
rs de se laisser persécuter ? N’avons-nous rien à
faire
qu’à subir le martyre ? Ou qu’à revêtir vis-à-vis de l’État une attit
75
ts n’avait pas encore pu s’affirmer comme elle le
fit
sous Louis XIV, nous constatons que la première discipline que se don
76
e… Je ne voudrais pas restreindre la portée de ce
fait
en l’opposant, comme il serait facile, à l’esprit unitaire et impéria
77
e, pour les mêmes raisons, mais aggravées, qui me
faisaient
prendre parti contre le régime communiste. On nous donne à choisir en
78
églises chrétiennes ont à souffrir demain par le
fait
d’un État tyrannique, il faut qu’elles sachent qu’elles en sont respo
79
et si nos libertés civiques sont brimées, par le
fait
d’une doctrine et d’un État « matérialistes », il faut savoir que nou
80
Tout le mal vient de notre esprit. C’est à lui de
faire
pénitence, car c’était lui qui devait témoigner de sa primauté saluta
81
les ont de permanent », car alors, le marxiste me
ferait
observer que des facteurs très essentiels de l’être même peuvent vari
82
ités, celles-là précisément dont le marxisme a dû
faire
sa spécialité, en vertu de notre carence : la politique, nos affaires
83
canons, à s’ouvrir au commerce de l’opium. Un tel
fait
donne raison en apparence à la critique marxiste. En vérité, il ne do
84
nelle de Calvin dans l’élaboration du document ne
fait
pas de doute. « C’est, dit F. de Schickler, une constitution très ser
85
n’eût pas eu d’histoire sans la promesse que Dieu
fit
à Abraham. Cette tribu « se lève et tombe » avec la mission qu’elle i
86
aspect du conflit de la vocation et du destin. Il
fait
comprendre l’esprit de révolte qui tourmenta sans fin les douze tribu
87
ce que ses yeux ne peuvent voir, et qui pourtant
fait
toute sa grandeur, c’est la révolte du destin profane contre la vocat
88
ivine, mais dont l’homme s’est emparé, et dont il
fait
sa chose, oubliant son Auteur. C’est alors que la lettre tue l’homme,
89
eux que le peuple honorait à peu près comme on le
fit
plus tard des Pères de l’Église, des évêques et des cardinaux : les p
90
conformité, parce que rien n’est si capable de la
faire
naître et de l’entretenir, que d’avoir les mêmes sentiments de la gra
91
lairement défini par la comparaison que l’on peut
faire
de notre richesse anarchique, et rendue presque vaine par ses excès,
92
deuxième et le troisième commandement. « Tu ne te
feras
pas d’image taillée, ni de représentation des choses qui sont en haut
93
l’on soit obligé de changer, lorsque l’expérience
fait
connaître le besoin d’en corriger les défauts. Ainsi, comme nous ne d
94
établis pour veiller sans cesse à ce qu’il ne se
fasse
rien qui y soit contraire, et que toutes choses ne sont pas mieux rég
95
, il imagine des lois fatales. Sans Messie, il se
fait
précurseur des messies qui ne viendront pas… Héritage d’Israël
96
s autres cultes orientaux de cette époque, et qui
fit
d’elle dès son apparition la seule rivale véritable et la seule rempl
97
» d’un réformé. Le « peuple élu » Le simple
fait
que le calvinisme ait été dès le début une église minoritaire, en but
98
ci tout au moins qu’elles mettent l’accent sur le
fait
de l’élection. Il est curieux de noter que le parallélisme se poursui
99
des rôles au dernier jour : « Or, si leur faute a
fait
la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens,
100
ur amoindrissement la richesse des païens, que ne
fera
pas leur complet relèvement ! » (v. 12). « En effet, je ne veux pas,
101
qu’elle se doit de juger Israël autrement que ne
fait
« le monde ». Ce n’est pas au nom d’intérêts passagers que nous avons
102
uels biens se préoccupe le croyant ? Leur faute a
fait
la richesse du monde. Et cette richesse s’appelle le salut. 64. Il
103
re de l’autel, sans qu’il lui soit plus permis de
faire
aucune des fonctions sacerdotales. » — Il est curieux de noter que le
104
nnelle. 78. D’autres auteurs, tels que Labriola,
font
remonter le phénomène capitaliste à l’« accumulation » de richesses d
105
le sens contraire de celui qu’on imagine. Car on
fait
pis que de l’ignorer et même que de le méconnaître : on prétend, sans
106
es, de contradictions. Est-ce avec cela que s’est
faite
la Réforme ? D’autres, moins exigeants, n’hésitent pas à soutenir que
107
e et sa Diatribe (souvent personnifiée), n’est en
fait
que le support apparent d’une réflexion de plus vaste envergure, d’un
108
tout catholique se doit, en bonne logique, de les
faire
siens, puisqu’il croit au mérite des œuvres ; et tous les protestants
109
stants qui jugent encore que Calvin et Luther ont
fait
leur temps — que dire de Paul, bien plus ancien — tous ceux qui tienn
110
hommes de bonne volonté », tous ceux-là sont, en
fait
, avec Érasme et son armée de grands docteurs de tous les siècles, pou
111
(comme dirait le jargon d’aujourd’hui), tout est
fait
, dans notre Traité, pour heurter de front le lecteur incroyant, ou ce
112
ologique. (Un tel homme est bien trop vivant pour
faire
de la psychologie ; trop engagé dans le réel pour prendre au sérieux
113
science du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de
faire
crier au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christian
114
notre effort ? Il ne sert plus de rien. Nous n’en
ferons
plus ! Nous refusons de jouer si, d’avance, le vainqueur a été désign
115
s-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a
fait
croire que ta vie était une partie à jouer entre toi et le monde, par
116
de compte : car je sens, malgré tout, que je les
fais
librement, et tu viens me dire qu’elles sont prévues ! Et prévues par
117
tuer Dieu, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait
fait
. L. — Comment le temps tuerait-il l’Éternel ? Comment la chair tuera
118
dispensé d’agir, et que ce n’est plus la peine de
faire
aucun effort. C’est peut-être mal raisonner. Si ton effort aussi étai
119
eux sur une réalité, ce n’est pas la supprimer en
fait
. Mais c’est peut-être se priver de son secours, ou encore la transfor
120
ole dans notre cœur. Quelle étrange illusion nous
ferait
croire qu’une décision de l’Éternel est une décision dans le passé !
121
e c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le
faire
» (Phil. 2, 12-13). C’est parce que Dieu fait tout que nous devons ag
122
le faire » (Phil. 2, 12-13). C’est parce que Dieu
fait
tout que nous devons agir, selon qu’il nous l’a commandé. C’est parce
123
dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauver,
fait
voir que nous n’avons aucune liberté, par nous-mêmes, dans notre péch
124
liberté possible que dans la grâce que Dieu nous
fait
. Toute l’argumentation de Luther vise le moment de la décision, et né
125
ieu avec nous ! 30. À la proposition qu’on lui
faisait
, en 1587, d’éditer ses œuvres complètes, le réformateur répondit : «
126
’en sortant du plan sur lequel ils voulaient nous
faire
prendre parti. C’est ainsi qu’on peut distinguer, dans l’idéalisme et
127
eur débrayé n’en ronfle que mieux, d’ailleurs, et
fait
plus de bruit qu’en « prise ». Il arrive même qu’il tourne si vite qu
128
yage serait immédiatement fatale à la machine, et
ferait
voler en éclats les engrenages. La merveilleuse subtilité d’une certa
129
ralisme » idéaliste, ce « laisser passer, laisser
faire
», suppose le débrayage de la pensée, sinon nous vivrions dans la plu
130
ement — et littéralement — comment pourrions-nous
faire
comprendre de quoi il s’agit ? Nous allons être obligés ici d’avoir r
131
ne donnée de ce type, sur un de ces « a priori de
fait
», comme dirait Heidegger. Toute tentative de définition de l’acte lu
132
odologiques) de notre position. ⁂ Nous ne pouvons
faire
comprendre la véritable valeur d’une philosophie de l’acte qu’en mont
133
d au fond de la notion de force, on est obligé de
faire
appel à l’idée de choc, de rupture, en un mot de violence (voir à cet
134
rdres de l’activité humaine, l’acte instantané ne
fera
briller son éclair que bien rarement. Les conflits contre le temps, c
135
Lévy-Bruhl, notamment dans la conférence qu’il a
faite
à Oxford, le 19 mai 1931, il le passe chaque fois qu’il pense, encore
136
que de même que la science a longtemps refusé de
faire
entrer dans ses constructions le principe de Carnot, et qu’elle n’a a
137
table nature de la mentalité prélogique, hésite à
faire
la part de l’orientation humaine qui s’exprime par une affirmation cr
138
cience n’est à l’aise que dans le continu et elle
fait
surgir le discontinu qu’elle multiplie par son progrès même. Elle ne
139
tion sincère. Le procès de la presse n’est plus à
faire
. Sa réforme pose tant de problèmes et entraîne de telles incidences (
140
tirage, publicité, centralisation, etc.) qui ont
fait
le succès de la presse moderne, qui font aujourd’hui son servage. « L
141
qui ont fait le succès de la presse moderne, qui
font
aujourd’hui son servage. « L’imprimé » qui était, il y a trente ans,
142
es qui ne peut être que fructueux pour tous. Nous
faisons
un appel pressant auprès de tous nos amis, frontistes ou non frontist
143
la culture est dans la rue. Je dis que la culture
fait
le trottoir. Et que c’est la politique qui s’est chargée de réglement
144
ce qu’il appelle « la primauté de l’esprit ». Il
fait
placarder des affiches « Pour la défense de la liberté ». M. Vaillant
145
l’économique. Le résultat de ces pratiques ne se
fera
pas attendre, et l’on en voit déjà les premiers signes : parlez de la
146
dit : « Je ne suis pas un dictateur » ; Mussolini
fait
la conquête de l’Éthiopie au nom de ce qu’il appelle sa liberté, etc.
147
qualifiait de fascistes. Alors qu’elles sont, en
fait
, l’un et l’autre. La politique actuelle s’occupe bien moins des faits
148
les mœurs de leurs contemporains ? Ils prétendent
faire
de pures et simples descriptions de la Vie (avec majuscule). Ils ne r
149
reflet de la conscience bourgeoise moyenne. Il ne
fait
que traduire les humeurs, les goûts, les craintes et les vapeurs du b
150
e — qui ne fut jamais celle des grands artistes —
fait
de notre romancier, tout simplement, le propagandiste des goûts de sa
151
quences, ce romancier s’est condamné lui-même, en
fait
, à ne plus être que l’agent de publicité — plus ou moins bénévole — d
152
rle, c’est d’abord la crise du roman, et du roman
fait
à l’usage des bourgeois, de leurs loisirs improductifs. Une telle cri
153
s bases de la culture actuelle qui sont en crise.
Faites
-nous des œuvres qui affirment, qui combattent, qui militent en faveur
154
on pas une facilité. Tout concourait d’ailleurs à
faire
passer cette erreur pour une évidence. Il y avait des places vides, t
155
Mais cette dégradation littéraire, après tout, ne
fait
que traduire celle de la société. Tous ces romans-cycles sont, en eff
156
eu avancé dans la vie, pour s’ébahir, comme je le
fais
, d’une… « constatation » de cet ordre ! Comprenez-vous ce qu’elle sup
157
illusion ai-je vécu ? Ce n’est rien d’écrire, de
faire
une œuvre, de croire qu’on a quelque chose à dire ; le but de l’écriv
158
dans le plat et d’éclabousser les convives. Nous
ferons
notre pain nous-mêmes. l. Rougemont Denis de, « C’est jeune », À n
159
décrire un précédent, d’affirmer que cela peut se
faire
, que cela s’est fait, qu’il y a là un bonheur… 22 septembre 1934. À…
160
d’affirmer que cela peut se faire, que cela s’est
fait
, qu’il y a là un bonheur… 22 septembre 1934. À… (Gard) Arrivés hier m
161
s, de telle sorte qu’on puisse y travailler. Nous
faisons
l’inventaire minutieux et le plan d’arrangement actuel de chacune des
162
petites entreprises qui leur donnaient du travail
font
faillite l’une après l’autre. Il y a 400 chômeurs pour une population
163
a ressource d’un jardin, ou qui ne « savent pas y
faire
». (Légère nuance de supériorité sociale chez Simard). Nos hôtes nous
164
lé la famille d’un mineur retraité, dont la femme
fait
des journées. Considérant que richesse oblige — car je gagne à peu pr
165
e Calixte pour donner un coup de main le matin et
faire
les lessives. C’est une toute petite vieille noueuse, à la sagesse se
166
tristement abstraite, étroite, appauvrissante en
fait
. Je vois tous les espoirs et toutes les « assurances » de cette popul
167
as mal d’enfants dans ces foyers que tout menace.
Faisons
la part des « accidents », des « imprudences ». Il reste encore une m
168
e l’Europe centrale. Le peuple qui sait calculer,
faire
son budget, bourrer le bas de laine et nourrir la bouteille aux pièce
169
le aux pièces de dix sous. Une chose est claire :
faire
des enfants, dans les conditions actuelles, c’est défier le bon sens
170
tique de la raison ? Simplement je constate qu’en
fait
, et dans ce pays tel qu’il est, la morale rationnelle et les mesures
171
ir. C’est la propriétaire, Madame Turc. Elle nous
fait
entrer. Pour la vente du raisin, il faut attendre sa fille qui va ren
172
Elle a sans doute entendu parler de nous. Rien à
faire
: je suis un « monsieur ». La fille rentre : une forte femme, environ
173
chambre de conserve des raisins. Pendant qu’elle
fait
la pesée : « C’est pour qui, Monsieur, sans indiscrétion ? » Je dis m
174
a porte entrebâillée. Une dernière bûche fume, il
fait
presque froid. Dans ce silence vide de la nuit campagnarde, me voici
175
mes sont plus éloignés que jamais ? « La nuit est
faite
pour dormir », me disait un gardien de l’ordre qui m’avait surpris su
176
soit un si bon remède comme on le dit. Je lui ai
fait
du poulet, elle n’y avait pas goût. Alors j’ai pensé lui faire du bou
177
et, elle n’y avait pas goût. Alors j’ai pensé lui
faire
du bouillon de poulet, ça lui a fait de l’avantage. Voyez ! Ce n’est
178
i pensé lui faire du bouillon de poulet, ça lui a
fait
de l’avantage. Voyez ! Ce n’est pas vrai que la viande est si bonne p
179
i bonne pour les malades. » Elle accepte de venir
faire
une lessive à la maison pour remplacer sa mère. Nous manquons de cord
180
on va les récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a
fait
un vent cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils n
181
ïfs, revendicateurs et inefficaces. La plupart ne
font
rien, ou « travaillent le mazet », ce qui n’est rien. Les femmes vont
182
a retraite. En 1570, le mûrier, importé de Chine,
fait
son apparition dans le Midi. État du pays en 1820 : douze filatures,
183
he. Je complète : vers 1900, la soie artificielle
fait
son apparition dans la vallée du Rhône. Fondation des grandes usines
184
on sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a
fait
son apparition sur le marché lyonnais. Faillite de plusieurs des gros
185
vembre 1934 Leur langage. La mère Calixte devait
faire
notre lessive la semaine prochaine. Elle vient s’excuser : « Qui sait
186
» Épicerie pour spécialiste, vous n’auriez jamais
fait
ce rapprochement ? Ce petit fait, si l’on y réfléchit, résume un dram
187
n’auriez jamais fait ce rapprochement ? Ce petit
fait
, si l’on y réfléchit, résume un drame. Ce drame est celui du langage
188
u’on ne croie pas que j’exagère. Je ne tire de ce
fait
, à vrai dire minuscule, qu’une évidence. Les mots que nous disons ou
189
en dépit de ce que l’on pourrait déduire, dans le
fait
, d’une discussion raisonnable, c’est-à-dire truquée, avec tel ou tel
190
prenait dans la seule mesure de l’utile. L’Église
faisait
le trait d’union, l’Église gardienne du sens concret des lieux commun
191
âtelains. Ils votent radical ou socialiste, et se
font
battre à plate couture, régulièrement. Mais faut-il donc penser que l
192
e, on peut redouter que ces hommes ne sachent pas
faire
la distinction entre le marxisme et l’anarchie. D’autre part, sauront
193
ls y sont entre eux. Je n’ai aucune envie d’aller
faire
l’intrus ou le bon apôtre. Si c’était possible, ce serait épatant, je
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es mériteraient mieux que ce qu’on leur donne, en
fait
de doctrine. En réalité, ils ne sont pas plus marxistes que moi. Ils
195
935 Ces cochons-là ! — Simard le jardinier s’est
fait
une forte entaille au doigt en travaillant. Ce gros homme, violacé d’
196
. Il en totalise sept pour son compte, et sa dame
fait
le petit appoint. Elle s’est « coupé » la jambe, cela fait bien cinq
197
etit appoint. Elle s’est « coupé » la jambe, cela
fait
bien cinq ans déjà, et « touche » pour cette jambe cassée et d’ailleu
198
olitique, l’hiver est « pourri », la « pulmonie »
fait
des ravages, et ces cochons-là vous diminuent. Simard m’explique enco
199
e où l’on a convenu de cacher cela — de cacher ce
fait
que l’intellectuel en tant que tel est un hors-classe, un être à part
200
’Académie, voire à jouer un rôle politique : pour
faire
figure, pour acquérir une situation bien définie dans le corps social
201
lisés — dans la mesure où nous réussissons à nous
faire
passer pour des bourgeois ou des défenseurs du prolétariat. 17 févrie
202
ompte de cette opposition fondamentale. Peut-être
ferais
-je bien, à l’avenir, si j’écris quelque chose sur le fascisme ou sur
203
s avez la possibilité de travailler. — Je me suis
fait
moi-même cette objection. Il est clair qu’un intellectuel aura toujou
204
l n’a plus d’emploi, et ne sait plus de quoi sera
fait
le lendemain. — Admettez que cela ne vous empêche pas de vivre assez
205
sans ressources. Mais d’autre part, est-ce que le
fait
que je suis heureux suffit à me nourrir et à me vêtir ? Vous n’avez q
206
on pantalon. Ce n’est pas avec ça que je pourrais
faire
une carrière dans le monde, à supposer que l’envie m’en prenne. Tout
207
romantique et excitant que mon titre pourrait le
faire
croire. L’intéressant à mon point de vue, c’est de montrer une fois q
208
ette conversation avec R. m’a rendu attentif à un
fait
qui m’apparaît soudain fondamental ; c’est l’affectivité quasi insupp
209
ter à la conférence. L’organisation lutte afin de
faire
accorder une retraite aux vieux. Unissez-vous, activez la propagande
210
l révolutionnaire : ‟L’organisation lutte afin de
faire
accorder une retraite aux vieux. Unissez-vous, activez la propagande,
211
as ! (C’est jour de foire). — Allons, tant mieux,
fait
l’homme. Et si des fois on vous en demande de trop, vous n’avez qu’à
212
a mettre à la mairie ? » L’homme au visage maigre
fait
un geste réticent. Le vieux le tient par la manche et lui martèle de
213
et en petits, si c’est le seul moyen pratique de
faire
valoir les droits élémentaires d’une partie de la population. Mais qu
214
cteurs ? Si l’on prend au sérieux le sort qui est
fait
aux ouvriers — ce n’est pas le cas des intellectuels qui « adhèrent »
215
revenez deux fois, vingt fois, prenez-les sur le
fait
au détour d’une phrase maladroite, rendez-les attentifs au sens de le
216
de leur travail, de celui qu’ils sont en train de
faire
tandis que vous causez, vous arriverez à leur tirer quelque chose de
217
un effort bien localisé, de s’attacher à ce qu’on
fait
; nécessité où l’on se trouve de bâcler son ouvrage, pour gagner de q
218
vient de l’État — et cela veut dire : de ceux qui
font
les lois sans rien savoir des situations locales. Parfois ils propose
219
arfois ils proposeront quelque réforme pratique :
faire
de la place aux jeunes en abaissant la limite d’âge dans les chemins
220
âge dans les chemins de fer et l’administration ;
faire
des lois régionales pour la viticulture ; mettre en commun les terres
221
vaient que de débarras —, et rien ne pouvait nous
faire
soupçonner cette présence à côté. Hier matin, la mère Calixte arrive
222
la province deviendra vivable. La révolution sera
faite
. Nous reviendrons… — Demain, il faut remettre en place les aquarelles
223
it devenir une littérature de Parti. » Et Staline
fait
écho, trente ans plus tard, à cette déclaration totalitaire ; dans un
224
n talent poétique, bien que je reconnaisse tout à
fait
mon incompétence dans ce domaine. Mais depuis longtemps, je n’avais é
225
t les réunions et se moque des communistes qui ne
font
que siéger et siéger encore. Je ne sais ce qu’il faut penser de la po
226
ssance et d’éducation. Une excentricité du sort a
fait
de lui un poète allemand. Les autres ont toujours cru à cette fable,
227
air, — oui, même ceux-là qui déplorent qu’elle se
fasse
, aux regards de la convoitise, « opaque »36. Que pouvais-je tirer de
228
ien qu’une évidence assez pauvre : l’ombre est le
fait
, en nous, de notre chair. Mais perdre sa chair, c’est mourir, et cet
229
célèbre dans un peuple ne pouvait exprimer qu’un
fait
humain élémentaire. J’étais déçu de le voir se réduire à quelque chos
230
le » ne tire son importance démesurée que du seul
fait
qu’elle est une image physique du pouvoir créateur spirituel. Comme o
231
le. Mais Andersen, comme on pouvait s’y attendre,
fait
dominer l’aspect « spirituel » du mythe. Son conte de l’Ombre, c’est
232
là que Chamisso s’est sauvé de lui-même : s’il a
fait
Schlemihl comme on sait, en grande partie à son image, il en diffère
233
image, il en diffère toutefois par ceci qu’il l’a
fait
, témoignant d’un pouvoir d’invention dont la nouveauté reste entière.
234
ionaliste. Rank insiste longuement, comme je l’ai
fait
, sur l’antiquité nordique du mythe, auquel se rattachent de très nomb
235
ue chaque objet de cette terre que je convoite se
fait
opaque, par cela même que je le convoite… », A. Gide : Les Nouvelles
236
cette « vérité d’expérience » si l’on voulait en
faire
une règle, comme nous en menacent les conformismes totalitaires ? On
237
je n’ai lu que les Règles de Descartes, comme on
ferait
un mot croisé, pour tuer le temps avant un rendez-vous. 19 novembre 1
238
mettre en confiance. Je sens bien qu’elle veut me
faire
causer avant de fixer le prix du chou-fleur, des enveloppes jaunes, d
239
? — C’est plutôt en été qu’on vient chez nous, me
fait
-elle prudemment observer. — Je le sais bien, madame Aujard, mais je n
240
n’a pas toujours ce qu’on voudrait. En hiver elle
fait
peu de réserves de produits alimentaires, les habitants n’achetant gu
241
ain. Pédenaud relit pour la nième fois son tarif,
fait
son calcul sur un bout de papier, et conclut que j’ai à payer 72 fran
242
vient de partir. Il faut téléphoner au chef-lieu,
faire
rouvrir au passage le sac postal, discuter passionnément, trouver une
243
ien qu’à me voir entrer. Je cause un peu, pour me
faire
pardonner. Pédenaud est mutilé de guerre. Il boite. On lui a donné ce
244
80 francs par mois « en comptant tout ». Sa femme
fait
des lessives. En été ils pêchent des palourdes et les vendent aux bai
245
me les puces d’un hérisson mort. » Cette phrase a
fait
dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de lumière. Lundi dernier,
246
er, tout convergeait vers Paris, non seulement du
fait
d’une organisation ferroviaire centralisée, mais encore sentimentalem
247
i change. N’était-ce pas là l’une des raisons qui
faisait
, si facilement nier la subsistance des « petites patries » dans la na
248
rait, la poésie des diligences, mais aérée. C’est
fait
d’une foule d’incidents entrevus, que tout dispose à romancer ; de co
249
nt toutes les raisons d’aimer le travail et de le
faire
bien : c’est moderne, c’est sportif, cela vous pose dans l’esprit des
250
ciété. Vous avez le temps de réfléchir et de nous
faire
part de vos lumières, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne
251
e. Car ou bien l’on écrit ce que l’on ne peut pas
faire
, et c’est l’aveu d’une faiblesse ou d’une ambition excessive, deux ch
252
d’invention qui, s’ils les possédaient vraiment,
feraient
de leurs détenteurs non point des écrivains mais des Don Juan, des di
253
ique de la pensée et de la vie des hommes qui ont
fait
l’Europe et qui veulent la maintenir. Et l’individualisme et les coll
254
sent l’Histoire, et savent de quoi l’Europe s’est
faite
. Pierre Beausire ne craint pas de proclamer que « si l’on veut parler
255
e ses vastes appartements. Dans chaque chambre il
faisait
disposer une écritoire et du papier, de façon à pouvoir noter, au cou
256
édifiants, signés de son nom. Mais à mesure qu’il
faisait
mieux voir le fond chrétien de sa pensée, le public s’écarta, effrayé
257
i s’essaient à penser en fin de semaine, comme on
fait
un peu d’ordre dans l’appartement, reculent bientôt devant l’énormité
258
uvera l’antidote : qu’il en soit mort, atteste ce
fait
capital que la pensée humaine ne peut être irrémédiable. Tous les aut
259
ait-il sérieux lui-même en écrivant cela, ou bien
faisait
-il une phrase ? Ce qui est sérieux, est seul important, mais tant de
260
sérieux, est seul important, mais tant de gens «
font
les importants ». Où est la différence ? C’est que le sérieux vrai es
261
rt, 22 mars 1662). Que dirions-nous alors du sort
fait
à celui qui doit se montrer aux hommes tel qu’il est ? S’entendre dir
262
ons descendu du deuxième un lourd sommier pour en
faire
un divan. L’escalier est étroit. La descente s’était opérée sans trop
263
ental dans sa pose scandale et ma réputation sera
faite
! Fuyons, fuyons ! (Été à Paris). Impossibilité du libre-échange hu
264
t décevante des « gens » en général — quand je ne
fais
que les jauger d’un regard — et sympathie violente, « élan vers », dè
265
s fortes que nous tous. — Et alors, dira-t-on : «
Faire
la révolution ! » — Ce substitut, ce renvoi aux calendes de la Grande
266
bien connus, dans leur réalité sordide. Un petit
fait
vrai vaut plus que dix grandes idées discutables. Mais n’oublions pas
267
Mais n’oublions pas qu’il vaut moins qu’un grand
fait
vrai, comme serait, par exemple, une grande idée embrassée avec force
268
oi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le
fait
dominateur. En vérité, il n’y a pas de faits grands ou petits en soi
269
chaque vie d’homme à peu près digne de ce nom, un
fait
qui commande tous les autres et qui est la mesure de tout. Quand tu l
270
prendras jamais qu’un appel à devenir toi-même ce
fait
qui est plus fort que toi. Car il est tout ce que le monde attend, at