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la doctrine de Marx ? Qu’importe, puisque le but
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est la richesse, mère du bonheur. N’est-ce pas là ce que voulait Marx
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our plus de clarté. Il me paraît que l’opposition
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entre la croyance marxiste et la foi personnelle du chrétien suffit à
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la réalité de mes espérances. » Mais l’espérance
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du communisme, c’est la libération de l’homme. Et moi je lui montre u
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’aller au-delà, d’aller jusqu’à l’accomplissement
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. Car cet accomplissement, ou plénitude, n’est jamais qu’un futur théo
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ne « dialectique » ses négations actuelles du but
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de Marx. Il légitime son étatisme totalitaire en arguant que c’est le
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ture et d’un ordre social, le principe initial et
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régulateur et en même temps animateur de toutes les œuvres d’une nati
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e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience
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du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit l
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e secret de l’expansion, mais aussi de l’anarchie
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de notre culture moderne. Culture dont les éléments progressivement d
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r le Christ, qui était « l’esprit » et la réalité
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de la Loi. Dès lors, la Loi est « accomplie » comme le dit Jésus-Chri
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Promesse qu’il a reçue, cependant que son destin
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demeure entre les mains du plus secret conseil de Dieu. « Quant à moi
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et l’on pourrait même dire : la date de son salut
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, dépend ainsi de la conversion des Juifs. Et ceci nous révèle la plus
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lacune en ce qu’il paraît conclure sur l’abandon
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d’Israël à son destin, après la mort de Jésus-Christ. Je suis heureux
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que la réforme organique de la presse est le but
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. Dans cette partie, on réunira petit à petit, une documentation préci
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quelle dose d’ironie M. Beausire joint à son vœu
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: « Qu’ils s’emparent hardiment du pouvoir dans cet État, et, en mani