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d’hui le peuple sans mesure, sans limites et sans
foyer
. Sans espérance, il crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des
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raison. Je vois la misère qui règne dans tous ces
foyers
, et qui les détruit. Je vois ces enfants sales abandonnés par leurs p
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ale, qu’il naît encore pas mal d’enfants dans ces
foyers
que tout menace. Faisons la part des « accidents », des « imprudences