1 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
1 a répondu : Le matin vient, et la nuit aussi ! Si vous voulez interroger, interrogez ; convertissez-vous et revenez ! » La f
2 vous voulez interroger, interrogez ; convertissez- vous et revenez ! » La forme du monde est durée, et c’est la forme du péch
3 la foi, où par grâce il peut rompre ce lien. « Si vous voulez interroger, interrogez ! », mais la réponse est : « Convertiss
4 errogez ! », mais la réponse est : « Convertissez- vous  ! » À la lumière jaillie de l’acte de la foi, le mystère du temps se
5 sujet était : La rencontre la plus importante de votre vie ? M. Clément Vautel qui personnifie de nos jours le Bourgeois, ré
2 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
6 dit Alice. Ils se disputent tous tellement qu’ils vous assourdissent. Ils ne suivent pas la règle du jeu et je ne sais même
7 sonne ne se soucie de les mettre à exécution25. «  Vous n’avez pas idée, conclut Alice, combien c’est affolant de jouer avec
8 mieux que l’Amérique ! Achetez français ! Passez vos vacances à la mer ! C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les
3 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
9 aux axiomes de Marx et d’Engels, les communistes vous répondront, non sans apparence d’à-propos, que l’opération les laisse
10 de l’histoire, non des vérités éternelles. Placez- vous donc sur ce plan historique. Voyagez en URSS par exemple. Constatez,
11 nous l’affirmait, avec ses effets historiques. On vous répond que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’entendez ri
12 , avec ses effets historiques. On vous répond que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’entendez rien au « devenir
13 c ses effets historiques. On vous répond que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’entendez rien au « devenir diale
14 épond que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’entendez rien au « devenir dialectique », dont la dictature actuell
15 lle n’est qu’un stade nécessaire mais provisoire. Vous voilà rejeté sur le plan doctrinal. Informez-vous alors de cette fame
16 Vous voilà rejeté sur le plan doctrinal. Informez- vous alors de cette fameuse dialectique : vous apprendrez qu’elle fut inve
17 nformez-vous alors de cette fameuse dialectique : vous apprendrez qu’elle fut inventée par Hegel, qui eut le tort de la fond
18 rement, d’elle-même, avec les derniers opposants. Vous pensiez être dans l’histoire, dans le réel : on vous invite maintenan
19 s pensiez être dans l’histoire, dans le réel : on vous invite maintenant à n’en pas croire vos yeux, qui voient Staline, mai
20 éel : on vous invite maintenant à n’en pas croire vos yeux, qui voient Staline, mais à croire une prophétie. Cependant vous
21 t Staline, mais à croire une prophétie. Cependant vous demeurez sceptique : Staline, après vingt ans de pouvoir des Soviets,
22 ntraire, il fait fusiller ceux qui en parlent. On vous répond que c’est une nécessité de la tactique, dûment prévue d’ailleu
23 ailleurs par les dialecticiens. Alors, peut-être, vous commencez à entrevoir ce que signifie : dialectique. C’est en fait, l
24 ul écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mais soyez transformés par le reno
25 , mais soyez transformés par le renouvellement de votre sens, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui
26 més par le renouvellement de votre sens, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et
27 ccédanés temporels, en dérive vers le néant. « Ne vous conformez pas à ce siècle présent, mais soyez transformés… » Cela ne
28 endre.) Sur quoi repose cette transformation dont vous parlez ? Sur une foi que ma raison refuse, et qu’elle m’ordonne d’ign
29 ns l’histoire de notre Occident52. Si je n’ai pas votre foi, je ne les vois pas. Je vois une Église établie, opprimant toutes
30 suffit à nourrir l’homme ! Peut-être suffit-il à vous nourrir, personnellement, mais ce n’est pas cela qui supprime la misè
31 tique pas une erreur contingente. Je ne dis pas : vous n’êtes pas assez marxistes ! Je dis : dès le départ, dès l’origine do
32 Car voici que le Royaume de Dieu est au-dedans de vous  ! » (Luc, 17, 20-25.) 57. Je parle ici, l’on m’entend bien, de ce qu
4 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
33 (v. 12). « En effet, je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, de peur que vous ne présumiez trop de votre sage
34 frères, que vous ignoriez ce mystère, de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une partie d’Israël est
35 ce mystère, de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une partie d’Israël est tombée dans l’endurcisseme
5 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
36 t au seul moment de la prière. « Demandez et l’on vous donnera », dit le même Dieu qui nous prédestina ! Quand le croyant, q
37 clame Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en
38 et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire » (Phil. 2, 12-13). C’est parce que Dieu fait
6 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
39 ’est la seule possible aujourd’hui. Camarades, si vous voulez savoir, aidez-nous ! (Pour tous renseignements, adressez provi
7 1937, Articles divers (1936-1938). À qui la liberté ? (5 mars 1937)
40 les premiers signes : parlez de la liberté, posez- vous en défenseur de cet idéal permanent de la Révolution humaine, vous pa
41 de cet idéal permanent de la Révolution humaine, vous passerez bientôt pour fasciste. On dit que les mots n’ont plus de sen
8 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
42 d’une… « constatation » de cet ordre ! Comprenez- vous ce qu’elle suppose, ce qu’elle avoue sereinement, ce qu’elle déclare
43 ce qu’elle déclare avec tant de naturel ? Sentez- vous , à la lire, quelque chose qui s’agite en vous, entre le rire, l’inqui
44 tez-vous, à la lire, quelque chose qui s’agite en vous , entre le rire, l’inquiétude, et le dégoût ? Partagez-vous ma naïveté
45 re le rire, l’inquiétude, et le dégoût ? Partagez- vous ma naïveté ? Et M. Fernandez, qu’en pensait-il, écrivant cela ? Dans
9 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
46 a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trouverez pour rien, ou pas gran
47 lliers de maisons vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trouverez pour rien, ou pas grand-chose.
48 Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trouverez pour rien, ou pas grand-chose. Encore faut-il savoir com
49 cice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, sa femme Marg
50 les. Le goût de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez que dans la « banlieue rouge » de Paris, d’ailleurs i
51  » Elle sourit à son tour, de l’air de dire : Oh, vous , ce n’est pas la même chose. Elle a sans doute entendu parler de nous
52 ans indiscrétion ? » Je dis mon nom. — Est-ce que vous écrivez des articles ? J’en ai lu signés de ce nom-là. Et elle me cit
53 e littéraire auxquelles je collabore, en effet. —  Vous avez le temps de lire beaucoup ? — Oh, on le prend. Comme nous ne voy
54 Quand elle sortait sa main du lit, cela fumait. «  Vous avez eu de la fièvre ! » Elle ne sait pas. Elle ne veut pas de médeci
55 moins déchirés quand on va les récolter. « Voyez- vous  ! c’est qu’il a fait un vent cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une ma
56 a coutume de dire en constatant le mal : « Voyez- vous  ! je croyais la tenir cette assiette ! » De telle manière qu’on enten
57 Madame, j’aimerais d’aller à Alès, quelle jour ça vous préférerait ? » (En prononçant tous les e muets). Simart, à propos de
58 récente baisse des salaires à la filature : « Je vous dis, c’est miraculeux ce qu’on leur donne ! Sept francs par jour ! »
59 e rappeler épicerie. » Épicerie pour spécialiste, vous n’auriez jamais fait ce rapprochement ? Ce petit fait, si l’on y réfl
60 ’est le seul moyen de les avoir, me dit-il. Comme vous l’aurez remarqué, il n’en vient qu’une dizaine au culte. C’est trop c
61 sme ? On m’avait dit : ce n’est pas cela du tout, vous verrez. Être communiste dans ce pays, c’est tout simplement être à ga
62 ur ce que c’est que ces communistes. — Voilà. Que vous dire de gens que je connais si bien ? C’est difficile de les classer
63 , ils ne doivent tout de même pas faire partie de votre église, pratiquement ? — C’est-à-dire, oui et non. — Enfin, viennent-
64 la question de la place à traverser. — ??? — Oui, vous savez que nos temples du Midi sont construits en général sur la place
65 n ! Mais on est lâches ! — Et chez eux, les voyez- vous  ? Pouvez-vous discuter avec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout
66 t lâches ! — Et chez eux, les voyez-vous ? Pouvez- vous discuter avec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout les femmes qu
67 x sont au travail, ou au café. — Pourquoi n’iriez- vous pas au café avec eux ? — C’est difficile ! Moi, ça ne me gênerait pas
68 ait épatant, je ne dis pas. Mais pratiquement, je vous assure, c’est difficile. — Et les salutistes ? — Ils ont un uniforme.
69 classé. On les connaît… — Alors, quand les voyez- vous  ? — Surtout à l’occasion des conférences que j’organise. Vous avez dé
70 tout à l’occasion des conférences que j’organise. Vous avez déjà parlé dans des cercles d’hommes. Vous voyez le genre. — Et
71 . Vous avez déjà parlé dans des cercles d’hommes. Vous voyez le genre. — Et les communistes y viennent ? — Bien sûr, le mair
72 s ouvriers travaillant à leur compte. — En somme, vous vous entendez bien avec eux ? — Ils savent que je suis de leur côté,
73 riers travaillant à leur compte. — En somme, vous vous entendez bien avec eux ? — Ils savent que je suis de leur côté, en gr
74 charge du destinataire ». Eh bien, qu’est-ce que vous croyez ? Réponse dans les quatre jours ! ah, ils sont comme ça ! Mais
75 Et tout ça lui a bien coûté 50 francs. Autrement, vous savez ce qui se passe, les employés là-bas, au ministère, ils mettent
76 « pulmonie » fait des ravages, et ces cochons-là vous diminuent. Simard m’explique encore que les gens s’en vont d’ici pour
77 i je lui dis que j’invente mon histoire ? — Il ne vous croira pas, vous ne savez pas mentir. — Mais pourquoi n’aime-t-on pas
78 j’invente mon histoire ? — Il ne vous croira pas, vous ne savez pas mentir. — Mais pourquoi n’aime-t-on pas ce qui est vrai 
79 Cela oblige à conclure, une histoire vraie. Cela vous met en question, cela vous invite à comparer les situations… À cause
80 e histoire vraie. Cela vous met en question, cela vous invite à comparer les situations… À cause de la solidarité humaine, p
81 stions matérielles » dans une société distinguée. Vous me direz qu’on ne parle guère que de cela. Oui, mais d’une façon géné
82 n puisse désirer.) R. me disait aussi : En somme, vous n’êtes pas un vrai chômeur, puisque vous avez la possibilité de trava
83 n somme, vous n’êtes pas un vrai chômeur, puisque vous avez la possibilité de travailler. — Je me suis fait moi-même cette o
84 oi sera fait le lendemain. — Admettez que cela ne vous empêche pas de vivre assez bien, à votre idée. Vous avez l’air très s
85 e cela ne vous empêche pas de vivre assez bien, à votre idée. Vous avez l’air très satisfait de votre situation. Ce n’est fic
86 us empêche pas de vivre assez bien, à votre idée. Vous avez l’air très satisfait de votre situation. Ce n’est fichtre pas le
87 , à votre idée. Vous avez l’air très satisfait de votre situation. Ce n’est fichtre pas le cas des vrais chômeurs ! — Ah, c’e
88 vrai, je suis bien content, malgré tout. — Alors, vous n’êtes donc pas un vrai chômeur. — Mais je ne tiens pas du tout à êtr
89 tiens pas du tout à être un « vrai chômeur », je vous l’assure ! D’ailleurs j’ai déjà dit que cela me serait pratiquement i
90 suis heureux suffit à me nourrir et à me vêtir ? Vous n’avez qu’à regarder la frange de mon pantalon. Ce n’est pas avec ça
91 de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez- vous , activez la propagande afin que satisfaction soit donnée aux légitime
92 tions des vieux ! « L’organisation lutte… Unissez- vous  ! Activez la propagande ! » Ô merveille du pathos révolutionnaire ! ô
93 de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez- vous , activez la propagande, afin que satisfaction soit donnée aux légitim
94 bleue proprette, visage nerveux et intelligent. —  Vous avez mon Huma ? — Bou die ! je les ai toutes vendues, Monsieur Dumas 
95 lons, tant mieux, fait l’homme. Et si des fois on vous en demande de trop, vous n’avez qu’à donner la mienne, vous savez. Pl
96 homme. Et si des fois on vous en demande de trop, vous n’avez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la lit… Ce généreux
97 mande de trop, vous n’avez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la lit… Ce généreux apôtre de la cause va sortir, lors
98 uliers : « Tu m’entends ? Nous ôtres, nous allons vous passer à tabaque, toute la bande ! — Oh ! dit l’homme, si vous y arri
99 tabaque, toute la bande ! — Oh ! dit l’homme, si vous y arrivez, c’est bien votre droit ! — Notre droit ? Peuchère, c’est n
100 — Oh ! dit l’homme, si vous y arrivez, c’est bien votre droit ! — Notre droit ? Peuchère, c’est notre devoir ! (Il glousse d’
101 ir malin). — On sait bien, dit le communiste, que vous avez toujours soutenu les gros qui pressent les petits ! — Les gros !
102 es petits ! — Les gros ! mon bon. Mais c’est donc vous , qui nous pressez toute notre argent, depuis quatre ans que vous l’av
103 pressez toute notre argent, depuis quatre ans que vous l’avez, le pouvoir ! » L’autre se dégage et s’en va, un peu triste, o
104 de celui qu’ils sont en train de faire tandis que vous causez, vous arriverez à leur tirer quelque chose de sensé, de vécu,
105 ls sont en train de faire tandis que vous causez, vous arriverez à leur tirer quelque chose de sensé, de vécu, de réel, — et
106 sions cyniques des partisans de la dictature. Ils vous diront d’abord que le fond de leur vie, c’est l’ennui. Ils expliquero
107 entation perpétuelle de changer de condition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le cœur à leur ouvrage, quand ils save
108 d’un trust, soit d’un syndicat d’incapables. Ils vous diront que le mal vient de l’État — et cela veut dire : de ceux qui f
109 s vins d’Afrique et des produits chimiques (« que vous avez la gorge brûlante après un verre »). Enfin ils se plaindront de
110 puissant contre nous : sur qui et sur quoi tablez- vous  ? nous dit-elle, sur quelle classe, sur quels intérêts ? — Nous compt
111 ort des hommes les plus humains. C’est peu, dites- vous . Mais rien d’autre n’est vrai… 6 mai 1935 La mort et les cérémonies
112 ’a bien reconnue, mais elle va passer cette nuit, vous savez, elle est toute chargée, bou die, l’estomac et tout. — Mais les
10 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
113 Maïakovski le « Salut au 17e » : Salut, salut à vous , braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotarde sur l’Alsac
114 e la chanson patriotarde sur l’Alsace-Lorraine : Vous avez pu germaniser nos plaines Mais notre cœur — vous ne l’aurez ja
115 vez pu germaniser nos plaines Mais notre cœur — vous ne l’aurez jamais ! Dans un article de 1922, il loue cependant un po
116 rence à sa mémoire et à ses œuvres est un crime. Vous reconnaissez le ton du policier, et du fonctionnaire arrivé. « L’indi
11 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
117 dernier. Il a beau n’aller que de nuit aux rendez- vous avec Mina. Le jour venu de signer le contrat, devant témoins, lorsque
12 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
118 un mot croisé, pour tuer le temps avant un rendez- vous . 19 novembre 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le village se t
13 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
119 ui portait l’uniforme de l’État, partout la même. Vous pouviez parcourir vingt fois la France de part en part sans remarquer
120 simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en contact avec toutes sortes d’habitudes locales. D’abord il fau
121 ment intimes, avec ce personnage enfoui à côté de vous dans un luxueux fauteuil de cuir rouge ou bleu vif, et qui change de
122 e faire bien : c’est moderne, c’est sportif, cela vous pose dans l’esprit des populations, on se sent maître à bord de sa pu
123 le marché, il s’écria : « Ah ! cher monsieur, je vous envie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la société. Vous av
124 l s’écria : « Ah ! cher monsieur, je vous envie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la société. Vous avez le temps d
125 avez un rôle magnifique à jouer dans la société. Vous avez le temps de réfléchir et de nous faire part de vos lumières, et
126 ez le temps de réfléchir et de nous faire part de vos lumières, et sans vous, où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus
127 ir et de nous faire part de vos lumières, et sans vous , où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus aux curés ? » — Compte
128 liardaires ou des saints. Croyez-moi, ce que nous vous donnons, c’est justement ce qui nous manque, et quand vous aurez comp
129 ons, c’est justement ce qui nous manque, et quand vous aurez compris cela, vous cesserez, je le crains, d’envier ma conditio
130 ui nous manque, et quand vous aurez compris cela, vous cesserez, je le crains, d’envier ma condition… s. Rougemont Denis
14 1937, Articles divers (1936-1938). « Subjectivité et transcendance », Lettre de M. Denis de Rougemont (décembre 1937)
131 e Rougemont (décembre 1937)w x Pourquoi voulez- vous — ou veulent-ils — que la philosophie se purifie de théologie ? La th
132 manquerait le sentiment du divin, du sacré. Mais votre communication nous oriente utilement vers une nouvelle analyse de la