1 ic plus étendu, l’avance nécessaire, le gage tout humain dont certains lecteurs ont besoin, pour se risquer à découvrir un gén

2 nflexible, à la conscience la plus sobre de notre humaine condition. On dirait qu’il incite ses héros à pratiquer contre la vie

3 cette mesure même, il se peut qu’il cesse d’être humain . Car l’homme n’a d’existence proprement humaine que lorsqu’il partici

4 re humain. Car l’homme n’a d’existence proprement humaine que lorsqu’il participe à la transformation du monde. Autrement, il e

5 re ces deux exigences : l’abîme entre les mérites humains et la grâce, l’abîme entre l’imitation et l’acte, l’abîme entre la re

6 de l’éternité ! « Il suffit d’un courage purement humain pour renoncer le temps afin de gagner l’éternité : car je la gagne et

7 arole reçue d’ailleurs, une rupture de tout drame humain que nous pussions prévoir, désirer et décrire ; une rupture et une vi

8 us, elle n’est encore qu’une forme de l’agitation humaine . Pour le chrétien seul elle signifie une transformation effective. Ou

9 trad. française dans les Éléments de la grandeur humaine (NRF). 7. « Le prophète se lève et tombe avec sa mission » (Karl Bar

10 6 à 1848, on trouve de nombreuses notations de ce genre  : « Grande sera ma responsabilité si je rejette une mission de cette

11 engage quelque chose de son être, c’est l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’inquiétude des masses. Elle n’est pas d

12 lle règne innommée et panique partout où l’amitié humaine n’a jamais rien noué, rien engagé, rien sacrifié, là où elle n’a pas

13 t arbitraire, ou s’il ne mise que sur l’indignité humaine  ? Et si la propagande et la publicité qui ont pris la place des lieux

14 sé », et comme « aliéné » de ce qu’il y a de plus humain en lui. À la découverte de « cette aliénation de soi », qui selon Mar

15 it de transformer en tant que l’on est proprement humain (c’est-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour Paul, et en tan

16 des choses, on change automatiquement la réalité humaine . Obligé par ses adversaires à proclamer la primauté du matériel, Marx

17 gnage en faveur du fait accompli d’une révolution humaine . Le chrétien converti commence donc par la fin que visait l’espérance

18 e la croyance marxiste renvoie sans cesse le fait humain total dans un avenir indéfini, et n’engage que certaines dispositions

19 ême parfois l’abandon de tous biens et d’intérêts humains très chers. Mais je demande à ces chrétiens « changés » s’ils ont un

20 it se manifester sur tous les plans de l’activité humaine , y compris le plan politique, ils ne répondront pas au défi du marxis

21 a puissance concrète. Réalité ou non de la pensée humaine isolée du domaine pratique, c’est querelle de pure scolastique » (Mar

22 arx ne prétendait nullement négliger les facteurs humains personnels, sans quoi le matérialisme ne serait pas « dialectique ».

23 circonstances et de la modification de l’activité humaine , ou transformation personnelle, ne peut être rationnellement comprise

24 c’est aussi un acte d’humilité ; car toute parole humaine sur Dieu est nécessairement inadéquate en soi, et ne peut être qu’un

25 un régime communiste.) Que reste-t-il dans l’être humain d’absolument irréductible à toute transformation sociale ? La mort ph

26 là précisément qui paraît le plus décisif, à vues humaines , s’agissant d’un homme appelé au ministère de la Parole. Ce qui est v

27 tils ou Juifs convertis, donc l’Église — héritage humain , d’autre part, de cette notion de la mesure « totalitaire » qui devai

28 que la mesure cesse d’être transcendante, devient humaine , contingente et partielle, et n’étant plus totale, se veut encore tot

29 lle d’un christianisme qui se met au service de l’ humain (j’entends bien de l’humain purifié, « divinisé » par les efforts de

30 e met au service de l’humain (j’entends bien de l’ humain purifié, « divinisé » par les efforts de la religion s’ajoutant à ceu

31 ue son volume matériel soit bien écrasant pour le genre . Mais on s’aperçoit sans tarder que la discussion avec Érasme et sa D

32 me ce Retour éternel paraît exclure toute liberté humaine , il se met à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontaire et joyeuse à

33 qué un minimum de culture physique connaissent ce genre d’échec. C’est la conscience défaillante qui refuse l’obstacle. Il ne

34 ers cet instant le saint des saints de la réalité humaine , le lieu de la pureté, si la « pureté du cœur », comme le veut Kierke

35 e libération qui est la jouissance spécifiquement humaine . De l’autre côté, on trouvera une économie de force ou de pensée susc

36 e, d’où cette zone où l’homme marche sur de l’art humain en toute sécurité et en plein automatisme (exemple : les grandes vill

37 risque, né du caractère ordonnateur de l’activité humaine . Ainsi dans l’organisation du travail. La machine tend à détruire l’a

38 quelque sorte renoncer au sens même de l’activité humaine  ; mais, d’autre part, la domination de la machine serait le résultat

39 l s’affirme en acte. Quand on parle de solidarité humaine , de valeur humaine, c’est à une société de personnes que l’on pense.

40 . Quand on parle de solidarité humaine, de valeur humaine , c’est à une société de personnes que l’on pense. L’homme n’atteint l

41 éclatante, inoubliable, paradoxale, de la société humaine , qui lui permet de se dépasser elle-même. L’homme concret, l’homme vi

42 ous paraît spécifique de l’effort et de la pensée humaine . La pensée créatrice est donc l’acte le plus pur et le plus humain. M

43 créatrice est donc l’acte le plus pur et le plus humain . Mais comment va se présenter à nos yeux ce qui n’est pas immédiat à

44 s favorable à l’édification de toute construction humaine , même et surtout rationnelle. Mais si nous rejetons toute médiation e

45 oute médiation entre l’acte et ses manifestations humaines , nous ne saurions écarter la réalité des résistances à cette activité

46 de l’acte. Étant orientée vers l’acte, la tension humaine ne saurait donc considérer toute médiation que comme une résistance à

47 rsonnalisme. Dans les divers ordres de l’activité humaine , l’acte instantané ne fera briller son éclair que bien rarement. Les

48 dente ; mais dans tous les domaines de l’activité humaine la pensée dichotomique maintiendra cette volonté : libérer la personn

49 t l’influence qu’exerce ce seuil sur toute la vie humaine et, probablement, sur la vie en général. Cela est d’autant plus néces

50 élogique, hésite à faire la part de l’orientation humaine qui s’exprime par une affirmation croissante de la discontinuité expl

51 s qui leur sont communs : primauté de la personne humaine , respect de la vérité et lutte contre la tyrannie de l’argent. Louis

52 défenseur de cet idéal permanent de la Révolution humaine , vous passerez bientôt pour fasciste. On dit que les mots n’ont plus

53 nt que le roman est le plus « contagieux » de nos genres littéraires, j’entends celui qui exerce l’influence la plus directe e

54 s les adultères que le roman à trois personnages, genre français par excellence, a provoqués et justifiés dans toutes les sou

55 un pareil état social ? Tous les chefs-d’œuvre du genre , au xixe siècle, étaient issus d’une société solidement établie, où

56 nteraient pour la critique un chambardement de ce genre . Ce serait toute une série de notions à acquérir, d’opinions à se for

57 t ou à « la Vie », ou à la solidarité de l’espèce humaine , malgré tout. Pourtant c’est bien ici le peuple « raisonnable » qu’on

58 ole primaire entre autres, ridiculise et ruine ce genre d’espoirs. Qui voudrait condamner l’usage pratique de la raison ? Sim

59 ralement, c’est ce qui règle le jeu des relations humaines et les opinions politiques). Le marxisme traite tout cela de nuances

60 statisticien, ou au contraire de l’homme le plus humain  ? Sera-t-elle fondée sur la réalité telle qu’elle est vécue et voulue

61 mieux cesser de penser. Que penserais-je, ici, d’ humain , d’actif ? Ici où je suis sans prochain, à cette heure ou mes frères

62 parlé du peuple fut affectée de malentendus de ce genre . Voire. Le peuple ne lisait pas, avant l’école de Guizot. Le « public

63 e se présente comme un séducteur, c’est la loi du genre , et cela rend les échanges bien pauvres…) Quand nous nous sommes levé

64 s le pasteur préside et on le respecte : 40 ans ; genre ancien combattant ; « très large », dit-on. Et « il cause bien ». 16

65 jà parlé dans des cercles d’hommes. Vous voyez le genre . — Et les communistes y viennent ? — Bien sûr, le maire en tête. Et i

66 comparer les situations… À cause de la solidarité humaine , probablement. — (Voilà pourquoi l’on trouvera sans doute, indiscret,

67 e diable ait jamais pu concevoir pour dresser les humains les uns contre les autres. Et qui, ou quoi, pourrait nous en guérir ?

68  lutte ». Où la publication d’un communiqué de ce genre ne soit pas accueillie par une traînée de rigolade irrépressible dans

69 — Nous comptons sur l’effort des hommes les plus humains . C’est peu, dites-vous. Mais rien d’autre n’est vrai… 6 mai 1935 La

70 bre dans un peuple ne pouvait exprimer qu’un fait humain élémentaire. J’étais déçu de le voir se réduire à quelque chose d’aus

71 taires ? On ne peut accepter une « vérité » de ce genre qu’en insistant sur le contraire : l’anormal peut être créateur d’un

72 Elle en épouse la géographie physique mais aussi humaine . Elle quitte à tout propos la route nationale pour des chemins second

73 lus balourds, enfin je ne sais quelle supériorité humaine , quel luxe d’énergie ou d’invention qui, s’ils les possédaient vraime

74 soit mort, atteste ce fait capital que la pensée humaine ne peut être irrémédiable. Tous les autres, sauf Empédocle et Nietzsc

75 l’existence. Kierkegaard déconsidère le sérieux «  humain  », par l’ironie de l’éternité. L’éternité, pour lui, est une ironie s

76 franchement s’avouer que de se comparer aux seuls humains que le métier ou notre rang social nous met en mesure d’approcher. L’

77 ! (Été à Paris). Impossibilité du libre-échange humain . — Considération irritée et décevante des « gens » en général — quand