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ès grandiose d’assimiler Luther et M. Hitler, par
goût
de la rime sans doute. Pour l’opinion moyenne sur Luther, je crois qu
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verdeur de polémique qui peut flatter en nous le
goût
du pittoresque ; l’élan génial, la violence loyale d’une certitude pe
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moyenne. Il ne fait que traduire les humeurs, les
goûts
, les craintes et les vapeurs du bourgeois sensible, il ne cherche pas
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romancier, tout simplement, le propagandiste des
goûts
de sa classe. Rien n’est plus dangereusement tendancieux qu’un écriva
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a population des faubourgs des grandes villes. Le
goût
de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez que dans la
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La mauvaise habitude de penser « librement » ? Le
goût
des chimères précises ? 10 novembre 1934 Observations nouvelles sur l
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dit. Je lui ai fait du poulet, elle n’y avait pas
goût
. Alors j’ai pensé lui faire du bouillon de poulet, ça lui a fait de l
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truction publique et la Presse répandent sinon le
goût
, du moins la pratique quotidienne de la lecture. Le public s’étend au
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elle de Lénine. Lénine affiche en littérature des
goûts
tantôt traditionnels et presque scolaires (Lermontov, Pouchkine, Tols
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lairet assez acide, qui laisse peut-être un léger
goût
iodé, au moins l’on est tenté de l’imaginer : la vigne croît ici au r
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e Paris et de fumer des cigarettes américaines au
goût
de miel, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme lit des hebdom