1
i nous vivons dans l’obéissance et dans la foi, l’
histoire
s’arrêterait comme l’Aspiration d’un homme saisi par la beauté, et le
2
rons nos vies : c’est pourquoi nous vivons dans l’
Histoire
, et dans l’absence, ou dans la nostalgie des temps qui viennent ; c’e
3
ansforme. Vertige de la « vie chrétienne », cette
histoire
de Dieu dans le temps, cette histoire de l’éternité ! « Il suffit d’u
4
ne », cette histoire de Dieu dans le temps, cette
histoire
de l’éternité ! « Il suffit d’un courage purement humain pour renonce
5
’elle est un acte et un destin, une initiale de l’
histoire
, une effigie de la Parole créatrice. 6. Le contraire de l’acte, c’
6
survient comme une absurdité, la première dans l’
histoire
du bourgeois, mais décisive. À une enquête dont le sujet était : La r
7
à tout ce qui est création dans la nature, dans l’
histoire
, dans la vie de l’esprit ? 24. Extrait d’un ouvrage intitulé Pens
8
ens modernes, avec une fureur sans exemple dans l’
histoire
de la culture, trahissent en somme l’impuissance pratique de notre la
9
s laisse indifférents : ils sont sur le plan de l’
histoire
, non des vérités éternelles. Placez-vous donc sur ce plan historique.
10
les derniers opposants. Vous pensiez être dans l’
histoire
, dans le réel : on vous invite maintenant à n’en pas croire vos yeux,
11
vérités éternelles pour entrer dans le plan de l’
histoire
, cela signifiait donc, précisément, renoncer à la vérité, et ne croir
12
Je ne vois pas les effets d’une telle foi dans l’
histoire
de notre Occident52. Si je n’ai pas votre foi, je ne les vois pas. Je
13
e déjà l’essentiel, que Marx voyait au terme de l’
histoire
: la personne. Et alors, il attaque le monde ! Mais un homme qui se c
14
n immédiate sur un fait qui n’est pas accompli, l’
histoire
n’ayant jamais connu de réalisation de communisme. Ainsi, des deux, c
15
mêmes inconvénients. Certes il y a des lois de l’
histoire
en ce sens qu’on retrouve les mêmes mécanismes partout où l’esprit dé
16
stein, rétorquait : « Toutes les révolutions de l’
histoire
de l’Occident, sont sorties de la religion chrétienne. Toute autre ca
17
cour suprême du synode national ». (John Viénot,
Histoire
de la Réforme française, I, p. 271.) 62. C’est-à-dire : fondée sur l
18
ation et destin d’Israël (1937)v Sens de « l’
histoire
» d’Israël Un prophète, a écrit Karl Barth, est un homme sans biog
19
e que l’Éternel choisit n’est pas moins vrai de l’
histoire
profane des Juifs, porteurs eux aussi d’une mission que rien en eux n
20
eut le dire sans paradoxe : Israël n’eût pas eu d’
histoire
sans la promesse que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tom
21
e répond à nul besoin historiquement déterminé… L’
histoire
, au sens hégélien ou tainien, ou matérialiste-dialectique, se donne p
22
e similitude facile nous permet de l’imaginer : l’
histoire
n’a pas la plus petite raison de supposer que le peuple d’Israël, s’i
23
es des Hébreux. Ce que nous connaissons de leur «
histoire
» — mais le mot prend ici un sens nouveau — c’est la suite des gestes
24
t matérielles que politiques et spirituelles65. L’
histoire
des civilisations nous offre certes d’autres exemples assez grandiose
25
muel appelé trois fois par Jéhovah, — que ce soit
histoire
ou légende, ces personnages lui sont incomparablement plus familiers
26
courci de la présente étude. Du point de vue de l’
histoire
du peuple juif, ce raccourci souffre, entre autres, d’une très grave
27
chap. VI, trad. d’Arnaud d’Andilly. 68. Renan,
Histoire
du peuple d’Israël, t. II, p. 265. 69. « L’embarras de l’hébreu pour
28
ie réformée que de voir dans l’Ancien Testament l’
histoire
du Christ avant qu’il vienne, dans les Prophètes, des Apôtres avant l
29
té des professeurs de dogmatique luthérienne ou d’
histoire
de l’Église dans les trois facultés françaises de théologie protestan
30
a très vivement critiqué le dernier chapitre de l’
Histoire
de la littérature française de Thibaudetk : celui qui est consacré à
31
épaisseur, de variété… », « accrochés aux petites
histoires
de leur milieu… »). On a dit : le chapitre est bâclé. Je me demande s
32
quer d’une empreinte durable un moment donné de l’
histoire
sociale, ils s’étalent dans la durée et vagabondent à travers les gén
33
anciers cyclistes, ne reste un trait capital de l’
histoire
du roman, du paysage, du roman, pour cette tranche de siècle que meub
34
vaises nostalgies. ? Qui pourrait nous écrire une
histoire
des inventions de l’insomnie ? Ne serait-ce pas tout simplement l’his
35
e l’insomnie ? Ne serait-ce pas tout simplement l’
histoire
de la naissance de nos démons ? La nuit ne pose pas de questions immé
36
t par l’un des instituteurs. Il s’agissait de « l’
histoire
de notre département ». La discussion n’a vraiment démarré que lorsqu
37
vieillesse, accidents du travail, incendie et une
histoire
très compliquée de capitalisation-loterie, qui l’excite particulièrem
38
e le lecteur demande, c’est qu’on lui raconte une
histoire
, me dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des
39
une histoire, me dit R. — Mais si je raconte mon
histoire
? — Le lecteur veut des histoires inventées. — Mais si je lui dis que
40
i je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des
histoires
inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon histoire ? — Il ne
41
inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon
histoire
? — Il ne vous croira pas, vous ne savez pas mentir. — Mais pourquoi
42
rce que c’est gênant. Cela oblige à conclure, une
histoire
vraie. Cela vous met en question, cela vous invite à comparer les sit
43
amisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette
histoire
. Le dernier même y mêle une assez opaque science, sans détriment pour
44
ntimentale. À défaut de la foi, ils connaissent l’
Histoire
, et savent de quoi l’Europe s’est faite. Pierre Beausire ne craint pa
45
s livres de Nietzsche. Mais non pas encore dans l’
Histoire
? Si ce n’est pas une utopie de plus, un refuge pour les faibles et l
46
ourrait être mortellement compromettante. Aussi l’
histoire
de la pensée n’est-elle peut-être que la chronique de ses retraites é