1 s de l’acte de foi qui, supprimant toute distance historique , nous rend contemporains de Son incarnation. Ainsi l’acte de foi détr

2 en vertu de ce paradoxe impensable, l’Incarnation historique de Dieu. Pas de réponse rationnelle au « Cur Deux Homo ? » de saint A

3 vérités éternelles. Placez-vous donc sur ce plan historique . Voyagez en URSS par exemple. Constatez, comme beaucoup l’ont fait (q

4 nfond, comme on nous l’affirmait, avec ses effets historiques . On vous répond que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’en

5 d’irréductibles à toute détermination sociale ou historique imaginable, dans le passé, le présent ou l’avenir53. Le problème d

6 en soi, que d’une critique politique, économique, historique , etc.55 Et je ne vois pas que le chrétien comme tel ait des lumières

7 ative61. Or il ne s’agit plus ici de contingences historiques . C’est le fond même de la doctrine calviniste qui s’exprime par cette

8 Elle n’est pas le produit normal d’une évolution historique fécondée et cristallisée par l’intervention d’un grand chef. Elle est

9 aïque. C’est précisément ce sens de la continuité historique et de la solidarité sociale qui distingua l’église chrétienne des rel

10 s toi-même agi par de puissantes forces sociales, historiques et économiques ? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement,

11 de mon corps — ou à une objectivation du devenir historique , ou encore à une autonomie de la raison critique. Division qui a pour