1 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
1 s croire au Christ, c’est croire au Paradoxe de l’ incarnation , c’est croire que Dieu a revêtu la forme de ce monde, c’est croire do
2 stance historique, nous rend contemporains de Son incarnation . Ainsi l’acte de foi détruit le temps où il a lieu mais comme la plén
3 K. entend : en vertu de ce paradoxe impensable, l’ Incarnation historique de Dieu. Pas de réponse rationnelle au « Cur Deux Homo ? »
2 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
4 i la Bible n’a pas d’autre sens que de désigner l’ Incarnation qui est son centre, au-delà d’elle-même. Tolle Christum e scripturis,
3 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
5 et d’évasif devant sa vocation : le mystère de l’ incarnation . Chamisso a donné à son Peter tous les traits physiques et moraux de
4 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
6 ’est « en vertu de l’absurde », c’est-à-dire de l’ incarnation de Dieu en Christ. On ne peut pas le comprendre : on le souffre. On l