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s injustices présentes, du fait qu’il croit que l’
intérêt
de l’homme est seul en jeu — et de l’homme tel qu’il le conçoit, être
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eu à peu obtenus. Une balance s’établit entre les
intérêts
sociaux présents et le désir d’aller au-delà, d’aller jusqu’à l’accom
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et de justice, même s’il était commis au nom des
intérêts
de l’Église chrétienne, détruirait en fait cette Église en tant qu’el
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re d’appliquer les moyens qu’il juge adéquats aux
intérêts
momentanés de son Parti et de sa classe. Ainsi Staline peut justifier
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ers, et même parfois l’abandon de tous biens et d’
intérêts
humains très chers. Mais je demande à ces chrétiens « changés » s’ils
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e notre carence : la politique, nos affaires, nos
intérêts
dits matériels, et ceux des autres ! Exemple typique : l’auteur d’un
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ins autant qu’une promesse. Une menace pour les «
intérêts
immédiats » qui se voient par trop négligés au profit d’on ne sait qu
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t que ne fait « le monde ». Ce n’est pas au nom d’
intérêts
passagers que nous avons à prendre position, mais au nom des promesse
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stes ou non frontistes, pour qu’ils comprennent l’
intérêt
exceptionnel que présente la formation des clubs, pour qu’ils y colla
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semaine, et ménagent les opinions plutôt que les
intérêts
de leurs électeurs. Cet opportunisme à courte vue caractérise très bi
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ations codifiées, tyranniques : il y avait encore
intérêt
à passer outre aux conventions. Mais quand il n’y a plus de conventio
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nce de l’esprit, c’est l’appel aux instincts, aux
intérêts
urgents, presque toujours contraires, en fin de compte, aux intérêts
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resque toujours contraires, en fin de compte, aux
intérêts
réels… 1er décembre 1934 Le pasteur m’a convoqué aux entretiens qu’il
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ficient pas de la loi des assurances sociales ont
intérêt
à assister à la conférence. L’organisation lutte afin de faire accord
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ple tel qu’on le voit paraît tout ignorant de ses
intérêts
véritables. Mais c’est qu’il ne peut pas les exprimer très aisément.
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ous ? nous dit-elle, sur quelle classe, sur quels
intérêts
? — Nous comptons sur l’effort des hommes les plus humains. C’est peu
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ontre Dieu. De sa fortune, il ne voulut tirer nul
intérêt
: il la confia à l’un de ses frères, pour éviter d’avoir affaire aux
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z son beau-frère. Il était adversaire du prêt à l’
intérêt
, condamné par l’église primitive. Il donnait à qui voulait. Après sa