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tude pratique, que la religion concerne « l’homme
intérieur
» et rien que lui. C’était une « affaire privée » ; et Marx n’a fait
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e ce processus : ceux qui prétendent réformer « l’
intérieur
» se gardent bien de toucher à l’extérieur. Marx dira donc, contre eu
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avec sa mauvaise conscience, en prétextant que l’
intérieur
importe seul, et que le « pain de vie » suffit à nourrir l’homme ! Pe
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r tout ; et non pas seulement l’« esprit » ou l’«
intérieur
». Or si le marxisme a réussi cela, s’il a pu paraître cela, c’est da
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aire crier au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’
intérieur
» du christianisme, de l’Église. L’humanisme laïque, autonome, est si
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s qu’elles entraînent en nous un état de division
intérieure
. Elles opèrent dans un monde dépourvu de correspondances avec notre s
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ccompagne l’acte, c’est le sentiment d’indivision
intérieure
, d’indivision entre le vouloir et le pouvoir. On pourrait presque dir
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efus du conflit concret. L’invention de l’homme «
intérieur
» suppose et permet celle du « robot » d’affaires. L’autisme est un f
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vive un empire qu’une cité étroite. En effet, à l’
intérieur
même de l’empire, s’établit un danger qu’ignorent les pays de marche.
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ui : telle est aussi la Liquor, qui est « l’ombre
intérieure
. » Une lecture plus poussée de Paracelse devait bientôt m’apprendre,