1 . Ainsi les mots n’ont plus le même sens pour les intellectuels et pour la masse — cela s’est vu en d’autres siècles. Ils n’ont plus

2 ls n’ont plus le même sens pour les divers partis intellectuels — c’est plus nouveau. Mais surtout, ils n’ont plus un sens auquel on

3 concurrence et l’oppression capitalistes, par les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la presse d’opposition, par Staline qui

4 ique. Mais ce qui est grave, c’est de voir tant d’ intellectuels défendre ces manœuvres au nom de la doctrine, et les justifier à tout

5 hanger la vie », criait l’enfant Rimbaud ! Et les intellectuels de gauche reprennent aujourd’hui cette devise, pour l’opposer au « sp

6 de — ou c’est moi. Il n’y a pas là de difficultés intellectuelles . Il n’y a que la résistance acharnée du « vieil homme », et les préte

7 ive sous forme d’individualisation ou de création intellectuelle . Notre science n’est à l’aise que dans le continu et elle fait surgir

8 aleur professionnelle et morale et de l’honnêteté intellectuelle de ses réalisateurs. Le côté confidentiel et privé de la méthode rend

9 Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)m J’étais chômeur depuis tro

10 que nous disons ou que nous écrivons, nous autres intellectuels , éveillent dans l’esprit populaire des harmoniques que nous ne savons

11 cultivé, et sans doute de tout ce qui n’est pas «  intellectuel  » — ne « discute » pas à proprement parler. Son langage en tout cas s

12 ugit dans sa tombe. 3 février 1935 Déclassé. — L’ intellectuel l’est toujours. C’est qu’il est d’une classe particulière, dispersée

13 convenu de cacher cela — de cacher ce fait que l’ intellectuel en tant que tel est un hors-classe, un être à part, auquel on ne croi

14 ous sommes méprisés dans la mesure où nous sommes intellectuels , et acceptés — ou utilisés — dans la mesure où nous réussissons à nou

15 s : c’est bien ma faute. J’ai de nouveau parlé en intellectuel . En homme qui veut savoir pour quelles raisons il prend ou ne prend p

16 projet de publier sous le titre de Journal d’un intellectuel en chômage , ces pages que je suis en train de rédiger à temps perdu.

17 fait moi-même cette objection. Il est clair qu’un intellectuel aura toujours la possibilité de travailler, pour autant que son vrai

18 auraient avec eux tous les hommes — bourgeois ou intellectuels — qui détestent la politique et la combine électorale. Au lieu de quo

19 i est fait aux ouvriers — ce n’est pas le cas des intellectuels qui « adhèrent » aux disciplines staliniennes en haine d’une société

20 sans rapport réel avec cette situation. Mais les intellectuels , dont le métier est de comprendre, dont le métier est de vouloir la v

21 paraît. m. Rougemont Denis de, «  Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) », Mesures, Châtenay-Malabry / Paris, 15 avril

22 Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)q r Début de novembre 1933 Mon domaine

23 n mois. q. Rougemont Denis de, «  Journal d’un intellectuel en chômage  », La Revue du dimanche, supplément hebdomadaire de la Re

24 n neuchâtelois Denis de Rougement : Journal d’un intellectuel en chômage . Grâce à la complaisance du directeur de la Guilde, M. A.

25 Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)s t Il faut parler des « autocars ». Je n

26 Rougemont Denis de, « Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage  », Le Journal, 15 août 1937, p. 2. t. Précédé de la noti

27 », en nous donnant, sous le titre de Journal d’un intellectuel en chômage, un recueil de réflexions, d’observations et de jugements.

28 Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)aa Note pour une préface. — « C’est une en

29 reté ou de misère physique condamnerait même un «  intellectuel  » au chômage absolu, c’est-à-dire à l’arrêt de la pensée, tout au moi

30 emont Denis de, « Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage  », Existences, Saint-Hilaire-du-Touvet, avril 1938, p. 11