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uvante précision. Le personnage de Garta, dont le
lecteur
ne tardera pas à voir qu’il figure la conscience exigeante, et comme
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à l’édition posthume du Procès : je doute que les
lecteurs
de ce livre étonnant, le plus profond qu’on puisse imaginer, aient le
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nce nécessaire, le gage tout humain dont certains
lecteurs
ont besoin, pour se risquer à découvrir un génie tellement « étranger
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en voilà sans doute assez pour faire entrevoir au
lecteur
l’arrière-plan et les prolongements de l’aventure du « vieux Pragois
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lement il est mal entendu par la grande masse des
lecteurs
ordinaires, disons des lecteurs de journaux, mais encore il s’est div
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grande masse des lecteurs ordinaires, disons des
lecteurs
de journaux, mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes és
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ement l’écrivain moderne use d’une langue dont le
lecteur
moyen trouve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin » p
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e que nous sommes en train de jouer, écrivains ou
lecteurs
, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et
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Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de
lecteurs
durant la période de leur vie ou paraissaient leurs œuvres capitales.
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cation active du vrai. Il habitue des millions de
lecteurs
au rendu approximatif des faits, des choses, ou des idées. Il flatte
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C’est sans doute dans cette perspective que le
lecteur
, peu familiarisé avec la pensée luthérienne, parviendra le plus aisém
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ares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’un
lecteur
qui refuse l’essentiel soit tout de même attiré et subjugué par le st
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fait, dans notre Traité, pour heurter de front le
lecteur
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des Apôtres.
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e à ses adhérents. Ceux-ci ne sont pas de simples
lecteurs
passifs, mais des membres actifs, qui participent à une œuvre commune
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le pourrait être une sorte d’école permanente des
lecteurs
de journaux ; 3° une partie documentaire sur la presse. Tout en cherc
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ous présentons ci-dessous à tous nos camarades et
lecteurs
de La Flèche le manifeste des clubs de presse en formation. À l’heure
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si l’on me comprend, pour éduquer la méfiance du
lecteur
. h. Rougemont Denis de, « À qui la liberté ? », À nous la liberté,
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plus grands romanciers, songez à leurs meilleurs
lecteurs
, aux plus crédules, aux plus avilies, à ces jeunes gens qui choisisse
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ns qui savent le communiquer à leur œuvre, et des
lecteurs
assez ardents pour le subir autrement qu’en imagination. Et rien n’es
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ence n’est pas moins grande, sur la vie privée du
lecteur
. Ils ne veulent rien dire, mais, pourtant, ils disent ! En d’autres t
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e, cela signifie simplement ménager et flatter le
lecteur
, la conscience bourgeoise du lecteur, ou plus précisément de la lectr
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t flatter le lecteur, la conscience bourgeoise du
lecteur
, ou plus précisément de la lectrice, car en France, paraît-il, ce son
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bourgeoise du lecteur, ou plus précisément de la
lectrice
, car en France, paraît-il, ce sont les femmes qui lisent et qui se pa
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l’écrivain n’est-elle pas justement d’éduquer le
lecteur
, j’entends de l’amener à réfléchir sur les raisons de ses partis pris
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ue les arguments qu’il m’oppose… — Tout ce que le
lecteur
demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je
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e dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le
lecteur
veut des histoires inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon
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e clichés hargneux, travaille pour le bien de ses
lecteurs
? Si l’on prend au sérieux le sort qui est fait aux ouvriers — ce n’e
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eut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du
lecteur
philosophe. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne
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A. Mermoud, nous sommes en mesure d’offrir à nos
lecteurs
la primeur de quelques pages de ce livre. Dans ces pages, l’auteur pe
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manquer de frapper, de retenir ou de repousser le
lecteur
non prévenu : la « difficulté » de Kierkegaard et sa dialectique du s
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x » de Kierkegaard, il est de nature à tromper le
lecteur
mille manières. On peut se laisser prendre à la fantaisie baroque de