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, ses expériences et préoccupations sociales, les
lectures
qu’il fait à son ami, la brève idylle de Weimar… tout cela compose un
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s aussi, pour qui sait comprendre, salutaire… Les
lectures
favorites et les préoccupations sociales de « Garta », telles que nou
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que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la
lecture
des évangiles par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de croi
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ntreprennent de gagner un million au sortir d’une
lecture
de Balzac ; aux boursiers dont Stendhal enfièvre l’ambition ; aux jeu
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ne l’avait vu et constaté aussi nettement qu’à la
lecture
de ce bilan désinvolte. Au lendemain de la guerre, la production écri
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n le goût, du moins la pratique quotidienne de la
lecture
. Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
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d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de
lecture
. Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
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elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la
lecture
qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
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si la Liquor, qui est « l’ombre intérieure. » Une
lecture
plus poussée de Paracelse devait bientôt m’apprendre, avec bien d’aut