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iculier, dans les Thèses sur Feuerbach. On peut y
lire
une phrase qui prouve que Marx ne prétendait nullement négliger les f
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le méconnaître : on prétend, sans l’avoir jamais
lu
, savoir qui il fut, qui il est. Certains ont parcouru les Propos de t
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’objet de la partie numéro 2 du bulletin : savoir
lire
avec le minimum de duperie, une presse truquée. L’esprit Il est
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car en France, paraît-il, ce sont les femmes qui
lisent
et qui se passionnent pour les romans. Ainsi, à force de ménager les
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déclare avec tant de naturel ? Sentez-vous, à la
lire
, quelque chose qui s’agite en vous, entre le rire, l’inquiétude, et l
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— Est-ce que vous écrivez des articles ? J’en ai
lu
signés de ce nom-là. Et elle me cite une revue protestante et une rev
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s je collabore, en effet. — Vous avez le temps de
lire
beaucoup ? — Oh, on le prend. Comme nous ne voyons jamais personne… (
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es qui travaillent, elles qui décident, elles qui
lisent
, elles qui vont à l’église ou au temple, ou n’y vont pas, elles qui s
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e de malentendus de ce genre. Voire. Le peuple ne
lisait
pas, avant l’école de Guizot. Le « public », c’était la noblesse, et
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ultivateurs, les trois instituteurs. Le pasteur a
lu
quelques passages de l’Écriture. Après quoi le sujet a été introduit
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lus qu’on ne croirait. J’en connais plusieurs qui
lisent
des brochures de vulgarisation de la doctrine. Ils me posent quelquef
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imple moyen… 31 mars 1935 Place aux vieux ! — Je
lis
dans un journal socialiste du Midi, sous la rubrique « La vie régiona
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ne comprend pas profondément ce qu’on lui donne à
lire
ou à entendre. Il comprend sa situation, et ne voit pas que son journ
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d. La musique m’ennuyait, indéfinie. Plus tard je
lus
le livre qui me parut splendide… Qu’est-ce qu’une ombre ? me demandai
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ncourent à ridiculiser. Un fragment de Paracelse,
lu
par hasard à cette époque, vint heureusement me donner la clé d’une i
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Depuis six jours que nous sommes arrivés, je n’ai
lu
que les Règles de Descartes, comme on ferait un mot croisé, pour tuer
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ssance du jour, de Colette. Je n’avais pas encore
lu
ce livre. Il est exactement de l’espèce que j’aime, et l’un des plus
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a page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je
lis
ceci : « … ils déménagent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cett
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nts de revoir le va-et-vient d’un lieu public, de
lire
les journaux de Paris et de fumer des cigarettes américaines au goût
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tées. Sur une pierre de cimetière danois, on peut
lire
cette inscription nue : « Le Solitaire ». Le rire et la passion sévèr