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l existe autant de ces latins-là que de chapelles
littéraires
, que d’écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les m
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’extrais cette déclaration du livre d’un critique
littéraire
connu, dont les revues n’hésitèrent pas lorsqu’il parut (en 1936) à l
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le roman est le plus « contagieux » de nos genres
littéraires
, j’entends celui qui exerce l’influence la plus directe et la plus in
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égradation de l’énergie ». Mais cette dégradation
littéraire
, après tout, ne fait que traduire celle de la société. Tous ces roman
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ait le plus savoureux argument. Dans sa chronique
littéraire
de Marianne, il reprochait tout récemment à l’un de nos bons écrivain
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t elle me cite une revue protestante et une revue
littéraire
auxquelles je collabore, en effet. — Vous avez le temps de lire beauc
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lien entre le domaine germanique et l’expression
littéraire
du mythe : Chamisso, Andersen, Hofmannsthal, et bien d’autres imitate
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s précise et qui n’a rien à voir avec la critique
littéraire
. À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « …
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ien d’années, je viens de trouver dans un ouvrage
littéraire
la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintena
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trois descendances spirituelles. La première est
littéraire
: ce sont les dramaturges et les poètes du Nord, dont le plus grand n