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soi — de l’activité des professeurs de dogmatique
luthérienne
ou d’histoire de l’Église dans les trois facultés françaises de théol
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ve que le lecteur, peu familiarisé avec la pensée
luthérienne
, parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du traité
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le langage scolastique, qui n’est pas proprement
luthérien
, mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer
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spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre »
luthérien
. (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule même à l’intérieur d
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tre qui ne tient pas compte de nos exploits ! Un
luthérien
. — Mais connais-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a fait
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u qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe
luthérien
et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influenc