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vivre dans tous les cœurs. L’homme d’aujourd’hui
méprise
les religions. Il sait ce qu’il faut penser des prêtres et des sorcie
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perdues, songe-t-il, que d’inventions négligées,
méprisées
! Nous adorons la Vie et le Progrès, le foisonnement et la diversité,
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n bien définie dans le corps social). Nous sommes
méprisés
dans la mesure où nous sommes intellectuels, et acceptés — ou utilisé
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ens raisonnables. Voilà pourquoi, pensais-je, ils
méprisent
l’ombre, et la mésestiment gravement. Mais encore ? Ils en ont tous u