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i porte l’homme à croire que la cause de tous ses
malheurs
est dans les choses, et non dans lui. (Il n’en fut pas conscient, et
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ur l’oppression capitaliste, trop réelle, tout le
malheur
inhérent à l’existence, tout le malheur dont en vérité le péché de ch
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, tout le malheur inhérent à l’existence, tout le
malheur
dont en vérité le péché de chacun est responsable. L’observation est
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tte synthèse, paraissant redouter je ne sais quel
malheur
pour leur foi, ou pour son « succès », si l’on ne parvient pas à l’op
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s sont pour une part, peut-être capitale, dans le
malheur
universel qui vient ? Or toute attente passive, si courageuse qu’elle
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aite dont nous avons, nous les premiers, dévié. «
Malheur
à moi si je n’évangélise ! », disait l’Apôtre. Malheur à moi si je re
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ur à moi si je n’évangélise ! », disait l’Apôtre.
Malheur
à moi si je refuse de réaliser l’Évangile dans tous les domaines de l