1 re et suffisante de tout acte véritable, de toute marche , de toute création, de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le

2 nnaître que ce que nous prophétisons. Le chrétien marche dans la nuit en créant sa lumière et son chemin5, lumière qui n’est p

3 nt la moins invraisemblable. Mais le chrétien qui marche dans la nouveauté ne prend mesure que de ce qu’il transforme. Sa conn

4 nomique ; qu’ainsi lestée, elle a pu se mettre en marche et agir au niveau du réel ; que son but primitif était de détruire l’

5 pire, s’établit un danger qu’ignorent les pays de marche . Le sentiment de la sécurité, de l’ennui, du vide, traduit un fléchis

6 ’énergie et de pensée, d’où cette zone où l’homme marche sur de l’art humain en toute sécurité et en plein automatisme (exempl

7 présente, on comprend que la jeunesse actuelle ne marche plus pour les défendre. La crise du livre, dont tout le monde parle,

8 ôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un balcon de pierre. L’on descend par d’étroits escaliers aux quat

9 . Les femmes vont à la filature — la dernière qui marche encore — et gagnent leurs 7 francs par jour. Pendant ce temps les hom