1 à grands frais l’évidence du désespoir : l’homme moderne a perdu « le chemin ». Je suis le chemin, la vérité et la vie, dit l

2 e dialectes ésotériques. Non seulement l’écrivain moderne use d’une langue dont le lecteur moyen trouve parfaitement normal de

3 ame de la civilisation, de la culture, de la cité modernes . Tous les hommes de ce temps, s’ils ont quelque conscience, souffrent

4 ent les poètes, les essayistes et les politiciens modernes , avec une fureur sans exemple dans l’histoire de la culture, trahisse

5 t responsable du déclin des Églises dans le monde moderne . C’est pourquoi les reproches du marxiste au chrétien sont humainemen

6 i fanatiquement lié et suspendu à l’invisible. Le moderne en ressent comme une offense à cette liberté créatrice dans laquelle

7 mais aussi de l’anarchie finale de notre culture moderne . Culture dont les éléments progressivement désunis, puis coupés de to

8 a soutenu que c’était là l’origine du capitalisme moderne et de ses principales valeurs éthiques. Mais Sombart lui répond que l

9 de l’ouvrage. (Nous ne savons que trop bien, nous modernes , séparer le fond de la forme, admirer l’une quand nous condamnons l’a

10 doit suffire en droit, à réfuter l’objection d’un moderne , l’objection parfaitement anachronique, mais que je sais inévitable,

11 er, tout au moins, le dialogue d’une « conscience moderne  », douée d’exigence spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre »

12 la santé de la foi. Kierkegaard Une conscience moderne . — Selon Luther, nous n’avons aucune liberté, car en réalité, Dieu a

13 d des adversaires du christianisme dans les temps modernes , Nietzsche, aboutit à un dilemme qui me paraît correspondre, terme à

14 upture entre la pensée et l’acte. ⁂ Que la pensée moderne repose sur un postulat d’inactualité, il suffit, pour s’en convaincre

15 La tentation de l’acte gratuit n’est qu’une forme moderne de la tentation de l’inerte. C’est un vertige de la personnalité cons

16 sation, etc.) qui ont fait le succès de la presse moderne , qui font aujourd’hui son servage. « L’imprimé » qui était, il y a tr

17 ainsi que Chamisso introduisit dans la conscience moderne le mythe de l’homme qui a perdu son ombre, sous les traits pathétique

18 ns d’aimer le travail et de le faire bien : c’est moderne , c’est sportif, cela vous pose dans l’esprit des populations, on se s