1
n ami le retint d’entreprendre au lendemain de la
mort
de Kafka sa biographie objective. Mais par une sorte de compensation
2
ue Dieu Seul est réel, ce sont la naissance et la
mort
, parce qu’ils sont des actes de Dieu. Entre la naissance et la mort —
3
sont des actes de Dieu. Entre la naissance et la
mort
— ou plutôt puisque l’acte est à contre-courant de la durée : entre l
4
’acte est à contre-courant de la durée : entre la
mort
et la naissance — toute la réalité de l’homme est dans son acte. Tout
5
Tout acte est Passage et tension, — passage de la
mort
à la vie, tension entre ce qui résiste et ce qui crée, victoire de la
6
e temps, puisqu’il est dans le même instant et la
mort
et la vie des êtres qu’il promet à l’existence ; mais détruisant le t
7
s cette chair qui doit vieillir, la tension de la
mort
et de la vie a mis des marques victorieuses. Qu’est-ce que la personn
8
nvie… Ainsi l’acte absolu qu’il imagine serait sa
mort
, — et c’est pourquoi il n’y croit pas. Nul n’échappe à la forme du mo
9
est qu’elle est entièrement déterminée jusqu’à la
mort
, mais que la mort survient comme une absurdité, la première dans l’hi
10
tièrement déterminée jusqu’à la mort, mais que la
mort
survient comme une absurdité, la première dans l’histoire du bourgeoi
11
inquiétude du cœur et de l’esprit qui naît de la
mort
des amitiés. Plus angoissante encore, elle règne innommée et panique
12
stiques et des dictateurs. Les lieux communs sont
morts
et embaumés : déjà, on leur fait des musées. Ou pire : ils n’ont jama
13
irréductible à toute transformation sociale ? La
mort
physique et le péché. Mais aussi : la qualité, la fonction créatrice
14
r l’abandon final d’Israël à son destin, après la
mort
de Jésus-Christ. Je suis heureux de pouvoir donner ci-après un dévelo
15
d de Dieu, donc, « tout est accompli », depuis la
mort
du Christ sur la croix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. —
16
! Ton éternité immobile, c’est l’image même de la
mort
. L. — Que savons-nous de l’éternité ? Les philosophes et la raison n
17
qu’elle est la Vie, et que notre vie n’est qu’une
mort
à ses yeux. Qui nous prouve que l’éternité est quelque chose d’immobi
18
Le problème du salut est un problème de vie ou de
mort
. Or il est seul en cause pour le théologien. Et tout est clair lorsqu
19
nihilisme qui l’étreint, dès lors que « Dieu est
mort
» ou qu’il l’a « tué », il imagine le Retour éternel. Et comme ce Ret
20
ine. Les deux femmes le dirigent seules depuis la
mort
de M. Turc. Elles ont un peu de peine avec les ouvriers. Il paraît qu
21
nt la même chose — leurs idées sur la vie, sur la
mort
, sur le mariage. Et quand je dis que sa vie consiste à connaître ces
22
antage : de la vie qui ne rapporte plus, ou de la
mort
qui rapporte « en doublage »… 20 janvier 1935 Superstition. — C’est
23
sse qui délaisse la terre pour la ville. (« C’est
mort
, ici ! » — phrase entendue un peu partout dans la province). Et puis
24
ous. Mais rien d’autre n’est vrai… 6 mai 1935 La
mort
et les cérémonies dans le Gard. — La maison de Simard recèle un effra
25
son existence en même temps que l’imminence de sa
mort
— et voici qui éveillera peut-être des réflexions fécondes dans l’esp
26
rime. » Heureusement pour lui que Lénine est déjà
mort
et momifié ! Je ne sais quelle était l’intention des éditeurs communi
27
cet infortuné Schlemihl n’était tout de même pas
mort
d’avoir perdu son ombre… Il était même si vivant, et sa présence si g
28
« … ils déménagent… comme les puces d’un hérisson
mort
. » Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de l
29
vait l’air malade. Le lendemain nous le trouvions
mort
. Et je l’avais oublié là, sans sépulture, caché sous des feuillages b
30
l’Europe actuelle se déchaînent des puissances de
mort
, spirituelles et matérielles, radicalement contraires au génie de l’O
31
pour y mener une existence solitaire, jusqu’à sa
mort
, en 1835. Il travaillait une grande partie de la nuit. Georg Brandes
32
témoin de la vérité, sa vie et son existence, sa
mort
et son enterrement, et l’évêque Nynster, nous dit-on, fut un des vrai
33
jusqu’au bout de leur emportement. L’un, c’est la
mort
accidentelle, l’autre, la folie qui l’abat. Un seul, je crois, parvin
34
crois, parvint dans l’intégrité de sa force à une
mort
que toute son œuvre provoquait et qui vaincue par une telle victime,
35
la pensée qui aboutissait là. Contempler dans sa
mort
la « fin » de sa passion et l’accomplissement de sa foi, tel fut le s
36
n qui n’est pas Dieu ; et soudain, sur son lit de
mort
, cette phrase : Je ne pense pas que ce soit mauvais, ce que j’ai dit
37
riomphe, le sens dernier de cette vie et de cette
mort
. Le premier est de Kierkegaard : Forcer les hommes à être attentifs
38
est là ce qu’il voulait. Il n’a jamais cru que sa
mort
pourrait entraver son action, il a compris qu’elle faisait partie de
39
cette action ne commencerait vraiment qu’avec sa
mort
!83 On trouve le second document dans le journal de l’hôpital où vi
40
malade) : Il tient sa maladie pour mortelle. Sa
mort
serait nécessaire à l’action à laquelle il a consacré toutes ses forc
41
qu’elle ne soit alors affaiblie. Au contraire sa
mort
donnera de la force à son attaque, et lui assurera, pense-t-il, la vi
42
, dont nul ne trouvera l’antidote : qu’il en soit
mort
, atteste ce fait capital que la pensée humaine ne peut être irrémédia
43
e l’absolu chrétien, mais seul Kierkegaard en est
mort
. Une pureté presque inhumaine, voilà ce qui définit sa grandeur. Une
44
nt peu de chose », s’écrie Bossuet (Sermon sur la
mort
, 22 mars 1662). Que dirions-nous alors du sort fait à celui qui doit
45
bliée à Paris. La nuit des villes n’est pas cette
mort
opaque dont il faut redouter je ne sais quelle invisible et brusque v
46
et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
mortes
. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses flancs
47
ennent, et pas une âme. « Vallée de l’ombre de la
mort
… étranger et voyageur sur la terre… » Jamais plus que dans cette nuit
48
ise primitive. Il donnait à qui voulait. Après sa
mort
, on s’aperçut qu’il ne restait que 250 francs dans le coffre. aa. R