1 ge de vérité qu’il n’en incarne.3 Voici donc le mystère  : s’il n’y a pas de chemin, nous ne pouvons marcher, mais si nous ne

2  ! » À la lumière jaillie de l’acte de la foi, le mystère du temps se dévoile ; mais un temps nouveau prend son cours, et sa me

3 ur la loi individuelle. C’est ici qu’on touche au mystère , sans lequel tout serait absurde : acte détruit le temps, puisqu’il e

4 qui distingua l’église chrétienne des religions à mystères et des autres cultes orientaux de cette époque, et qui fit d’elle dès

5 illumine aussi profondément qu’il est possible le mystère dernier d’Israël. « Je demande maintenant : Dieu a-t-il rejeté son pe

6 fet, je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère , de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une p

7 scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus profond que notre vie, et la raison n’est qu’un faible élément d

8 n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un mystère que le croyant pressent et vit au seul moment de la prière. « Demande

9 cise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère  : croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa volonté — qui a

10 contact entre l’éternité et le temps, qui est le mystère même. Cela n’entraîne pas qu’on ne puisse rien dire des réactions psy

11 isse m’étreint. Je suis comme un enfant devant le mystère de « la vie… ». Profitant de mon innocence, que j’espère d’ailleurs p

12 une assez opaque science, sans détriment pour le mystère , qui reste entier. Cependant, à voir tant d’auteurs s’exercer l’imagi

13 son image40, et d’évasif devant sa vocation : le mystère de l’incarnation. Chamisso a donné à son Peter tous les traits physiq

14 à raconter sur ce pays… Je l’ai laissée en plein mystère . Elle a dû en parler longuement avec les clients qui attendaient en s

15 luia ! Alléluia !82 Deux documents éclairent le mystère de ce triomphe, le sens dernier de cette vie et de cette mort. Le pre