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s dans l’obéissance et dans la foi, il n’y aurait
ni
passé ni futur, mais le Jour éternel de la présence à Dieu et à soi-m
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obéissance et dans la foi, il n’y aurait ni passé
ni
futur, mais le Jour éternel de la présence à Dieu et à soi-même régne
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il meurt au hasard, sans avoir rencontré personne
ni
soi-même20. Il vit dans la forme du monde : et ce n’est point qu’elle
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Elle n’empêchait nullement de faire des affaires.
Ni
d’opprimer les ouvriers. Ni d’appeler justice, au besoin, ce qui étai
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e faire des affaires. Ni d’opprimer les ouvriers.
Ni
d’appeler justice, au besoin, ce qui était utile aux maîtres. La reli
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le niaient, et nous n’eûmes pas toujours le temps
ni
l’occasion de rendre justice aux autres facteurs. » De la doctrine
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ique49. Le christianisme n’est pas un programme ;
ni
, comme le disent certains primaires marxistes, une « idéologie » ; ni
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certains primaires marxistes, une « idéologie » ;
ni
une tactique, cela va de soi. Parlons plutôt d’une attitude. Et d’une
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ste. N’ayant pas derrière lui de modèle accompli,
ni
en lui de Présence souveraine, il se sent libre d’appliquer les moyen
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et actuelle, puisqu’il n’y a pas de salut présent
ni
éternel, puisque le salut n’est pas pour eux de toute façon, mais pou
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ou partielles. Elle ne laisse aucune contingence,
ni
aucune possibilité de retrait ou de dépassement. Aucun refuge « loin
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, en viennent à ne plus même pouvoir communiquer,
ni
s’animer les uns les autres, chacun se refermant sur sa spécialité, s
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mmandement. « Tu ne te feras pas d’image taillée,
ni
de représentation des choses qui sont en haut dans les cieux, en bas
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« petit troupeau » longtemps chassé de son pays ;
ni
les ressemblances entre les formes d’activité et d’attitude sociale a
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concevoir nos polémiques. Et son issue ne dépend
ni
de nous seuls, ni d’eux seuls. On dit : les Juifs sont ceci, les Juif
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émiques. Et son issue ne dépend ni de nous seuls,
ni
d’eux seuls. On dit : les Juifs sont ceci, les Juifs sont cela, ils s
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n de « difficile » dans les assertions de Luther,
ni
dans sa négation joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ébran
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ces. Entre les deux pôles de la tension, il n’y a
ni
identité, ni égalité, justement parce que l’un d’entre eux attache l’
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s deux pôles de la tension, il n’y a ni identité,
ni
égalité, justement parce que l’un d’entre eux attache l’homme aux aut
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mentation objective, condensée, sans commentaire,
ni
appréciations, sur chacun des faits importants de la semaine. Cette p
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peut être résolue par des mesures de propagande,
ni
par des lois plus ou moins astucieuses. C’est toutes les bases de la
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ous parlions ne demandera pas seulement des mois,
ni
même des années ou des siècles, mais quelque chose de beaucoup plus d
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r Nîmes. Déjà je ne sais plus ce que j’attendais,
ni
ce que j’ai pu rêver de ce pays. Il est très pauvre, sec et lumineux.
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iorité qu’ils ne peuvent attribuer au rang social
ni
au salaire, c’est évident, mais seulement à leur religion. En vérité,
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Il ne part pas de ce que les hommes veulent être,
ni
de la conscience globale qu’ils ont de leur état (et c’est pourtant l
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nvention. Bref, il n’est plus de mesure commune :
ni
l’Église, ni la Culture, ni l’École qui prétend les remplacer, n’ont
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f, il n’est plus de mesure commune : ni l’Église,
ni
la Culture, ni l’École qui prétend les remplacer, n’ont plus d’autori
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s de mesure commune : ni l’Église, ni la Culture,
ni
l’École qui prétend les remplacer, n’ont plus d’autorité sur l’esprit
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i sera vaincu. Non point qu’il s’avilisse partout
ni
qu’il se laisse toujours persuader par la tentation du succès. Mais s
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nts pour des questions d’argent, on ne croit plus
ni
à Dieu ni à diable et à peine à la politique, l’hiver est « pourri »,
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es questions d’argent, on ne croit plus ni à Dieu
ni
à diable et à peine à la politique, l’hiver est « pourri », la « pulm
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ra aux clichés du journal. On n’aura pas le temps
ni
le courage, ni même l’idée de pousser plus loin, d’aborder des réalit
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du journal. On n’aura pas le temps ni le courage,
ni
même l’idée de pousser plus loin, d’aborder des réalités. Donc, par a
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lui répondre que ce n’est pas là parler en homme,
ni
en enfant, mais en adolescent impénitent. ⁂ Je ne sais trop quelle do
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ependant, dans le pire désespoir, jamais de défi,
ni
d’« hybris ». Pureté du chrétien, non du surhomme. Quant au « sérieux