1 l’âme si l’on y tient — il faut commencer par le nier . L’« esprit » du bourgeois spiritualiste n’est qu’une caricature, mai

2 damental, par opposition à nos adversaires qui le niaient , et nous n’eûmes pas toujours le temps ni l’occasion de rendre justic

3 ise. L’humanisme laïque, autonome, est simplement nié , comme une absurdité, une contradiction dans les termes. C’est à Éras

4 pas en philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le libre arbitre. Ceci pourrait suffire et doit suffire en droit, à r

5 ! C. M. — Si c’était vrai, je préférerais encore nier ce Dieu, qui prétend voir plus loin que le terme de mes actions, ce q

6 eur des plus grossières ?… C. M. — On peut aussi nier l’éternité, et affirmer que seul existe notre temps. Dans ce cas, tu

7 ut est clair lorsque l’on a compris que Luther ne nie pas du tout notre faculté de vouloir, mais nie seulement qu’elle puis

8 ne nie pas du tout notre faculté de vouloir, mais nie seulement qu’elle puisse suffire à nous obtenir le salut, étant elle-

9 que nous repoussons ? Nous serions mal venus à le nier . Si le monde dure, c’est-à-dire se renouvelle, c’est qu’il y a dans l

10 acte ? Est-ce que nous n’allons pas être amenés à nier la réalité de toute médiation ? Assurément l’évidence de l’acte, non

11 s là l’une des raisons qui faisait, si facilement nier la subsistance des « petites patries » dans la nation abstraitement u

12 revive dans ce mouvement, je serais mal venu à le nier . En tant que protestant personnaliste, je tiens que seule la foi réel