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are, un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’
odeur
du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le ti
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ui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses
odeurs
et la saleté de ses ruelles. Un ruisseau coule au milieu du pavé, cha
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es rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’
odeurs
dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presby