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cles. Ils n’ont plus le même sens pour les divers
partis
intellectuels — c’est plus nouveau. Mais surtout, ils n’ont plus un s
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s, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le
parti
de l’esprit et les autres celui de l’ordre, les uns le parti de la ré
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esprit et les autres celui de l’ordre, les uns le
parti
de la révolution, les autres celui de la patrie… Les uns voudraient l
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s la pratique, et pourraient définir utilement le
parti
, si seulement chacun de ces mots avait le même sens pour tout le mond
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etc. D’où l’embrouillamini de la politique et des
partis
, et la confusion meurtrière de termes dangereusement chargés de passi
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fie : dialectique. C’est en fait, l’obéissance au
parti
, l’obéissance aveugle à Staline, dépositaire unique de la doctrine. Q
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mettons les détours dialectiques, de l’action du
parti
communiste41. La « cause » justifie les moyens… Mais alors, comment n
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r un glissement inévitable au rang de doctrine du
parti
, devait sortir la « vérité » tactique du matérialisme vulgaire, celui
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errain que l’on dit réaliste, à supposer que le «
parti
chrétien » eût triomphé, rien ne l’eût empêché de subir le sort fatal
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u’il juge adéquats aux intérêts momentanés de son
Parti
et de sa classe. Ainsi Staline peut justifier en bonne doctrine « dia
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st ainsi qu’on a vu Zinoviev, par « fidélité » au
Parti
, c’est-à-dire à l’avenir du Parti, proférer des aveux mensongers qu’i
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« fidélité » au Parti, c’est-à-dire à l’avenir du
Parti
, proférer des aveux mensongers qu’il croyait tactiquement utiles. Ima
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ant qu’un vrai chrétien juge bon de s’inscrire au
parti
communiste ou de militer en sa faveur : l’alternative où il se place
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cepte les disciplines d’action que lui impose son
parti
, et qui comportent la haine et le mensonge : mais alors pour sauver l
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faut donc en préparer une autre, et prendre enfin
parti
, positivement, dans l’immense lutte qui va mettre aux prises l’étatis
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ligions qui ne sont pas les nôtres. Je prends ici
parti
contre une telle entreprise, pour les mêmes raisons, mais aggravées,
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taient surtout des questions, des affirmations de
partis
pris ou des récits entremêlés d’allusions à des célébrités locales, p
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is ce n’est pas par la lecture qu’ils viennent au
parti
. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se grouper afin d’entreprendre
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ien ne se présente pour les soutenir. Ils vont au
parti
communiste parce qu’il n’y a rien d’autre et personne d’autre… Ce ser
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dévia bientôt vers le fascisme. Un beau chaos de
partis
pris, d’erreurs de faits et de formules électorales ! Je demandai la
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r pour quelles raisons il prend ou ne prend point
parti
. Mais l’électeur veut qu’on soit pour ou contre, et il se méfie par p
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ds de l’amener à réfléchir sur les raisons de ses
partis
pris ? Mars 1935 (à Marseille) J’ai parlé à R. de mon projet de publi
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la France, où cette phrase soit possible. Où les
partis
qui se disent « avancés » osent le proposer comme objectif de « lutte
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ons des vieux !” Quand on en est à cela, dans les
partis
d’extrême gauche, c’est que l’état social est à peu près paradisiaque
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ux rentés de ce pays. Faut-il donc penser que les
partis
expriment tout simplement des attitudes morales différentes ? Ce sera
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ités radicaux ou socialistes, ce serait d’être le
parti
de la vérité et du bon sens. Ils auraient avec eux tous les hommes —
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encore « chrétienne » — il faut bien dire que le
parti
communiste est une sinistre trahison des pauvres hommes. Beaucoup, je
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en 1905 déjà ! — doit devenir une littérature de
Parti
. » Et Staline fait écho, trente ans plus tard, à cette déclaration to
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ore ? Ils en ont tous une, et s’entendent à tirer
parti
du plaisir que dispense un corps. Ils prisent fort la « transparence