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nature assez rare du dessein secret de Kafka. Sa
passion
de l’absolu moral et religieux, sa psychologie de l’angoisse dérivent
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on meurtrière de termes dangereusement chargés de
passion
et de préjugés, tels que patriotisme, nationalisme, impérialisme… ⁂ T
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, tel est, je crois, l’acte initial mais aussi la
passion
constante du communiste conscient et conséquent. C’est ce mouvement p
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au travers d’une longue tribulation, d’une longue
passion
temporelle. Et c’est la « foi », substance des choses espérées, qui p
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ançois Ier, c’est-à-dire jusqu’à une époque où la
passion
totalitaire des gouvernants n’avait pas encore pu s’affirmer comme el
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eut-être n’est-il pas excessif de voir dans cette
passion
contradictoire le secret des soudaines explosions de rancune qui appa
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, de raison cartésienne, de soif de Justice et de
passion
libertaire, ce grand mot sera prononcé, proclamé, acclamé par les tra
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vait lui coûter. Car le monde ne tolère jamais la
passion
spirituelle qui se déclare dans sa pureté. La plupart des gens vivent
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sait là. Contempler dans sa mort la « fin » de sa
passion
et l’accomplissement de sa foi, tel fut le sort de Kierkegaard, son i
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! Même ces deux-là qui sont allés si loin dans la
passion
de l’absolu chrétien, mais seul Kierkegaard en est mort. Une pureté p
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tés collectivistes, nos compromis spirituels, nos
passions
courtes et agitées. Sur une pierre de cimetière danois, on peut lire
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inscription nue : « Le Solitaire ». Le rire et la
passion
sévère, le ricanement puissant et le message d’amour de Kierkegaard t