1 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
1 hrétien (Journal). Vends ton bien et le donne aux pauvres , par exemple, ou si tu ne possèdes pas de bien, cesse d’en désirer la
2 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
2 voir pour objet de plaire à Dieu. Une culture pauvre , mais fidèle Un homme du xxe siècle ne peut, me semble-t-il, qu’é
3 e d’orgueil contre Dieu. La culture d’Israël sera pauvre à raison même de sa pureté. Sa pauvreté sera la condition de sa grand
4 utes ses œuvres, l’on voit que la culture la plus pauvre , qui fut celle du peuple hébreu, fut aussi la plus convenable aux fin
3 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
5 , ni ce que j’ai pu rêver de ce pays. Il est très pauvre , sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, olivie
6 st assez sage dans l’ensemble. Ils seraient moins pauvres , moins malades, etc., s’ils étaient plus « pratiques » comme on dit d
7 t la loi du genre, et cela rend les échanges bien pauvres …) Quand nous nous sommes levés pour sortir, le facteur ronflait, le f
8 le parti communiste est une sinistre trahison des pauvres hommes. Beaucoup, je le sais, résistent à l’intoxication, mais cela p
4 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
9 e tirer de tout cela ? Rien qu’une évidence assez pauvre  : l’ombre est le fait, en nous, de notre chair. Mais perdre sa chair,
10 rgeois de la plus dangereuse espèce, le bourgeois pauvre qui envie les bourgeois riches. D’où vient le sentiment qu’il a d’êtr
5 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
11 s la catégorie bourgeoise. Ma bonne conscience de pauvre n’aura pas duré bien longtemps. 16 décembre 1933 Derrière la même pil
6 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
12 e et dépensait sans compter85. Le second était si pauvre , au moment où il écrivit ses plus grandes œuvres qu’il ne lui restait