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reste un trait capital de l’histoire du roman, du
paysage
, du roman, pour cette tranche de siècle que meublera la génération de
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des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un
paysage
de primitifs italiens. Le mas au flanc de la colline, déjà dans l’omb
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sbytère sur une galerie d’où l’on domine un ample
paysage
horizontal. La plaine est à nos pieds, des Cévennes grises au nord ju
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e province à une autre, ce n’est pas seulement le
paysage
qui change. N’était-ce pas là l’une des raisons qui faisait, si facil