1
venu dans la vie de son héros, Kafka nous amène à
penser
que le détail de l’existence banale, et le sentiment d’étrangeté qui
2
y en a une. Alice au Pays des Merveilles On peut
penser
que notre langue est plus malade que n’était le latin à l’époque de l
3
’hui méprise les religions. Il sait ce qu’il faut
penser
des prêtres et des sorciers. On lui donnera donc autre chose : les mê
4
. Nous vivons à l’âge des mots d’ordre. L’on peut
penser
que c’est une espèce de progrès sur l’âge des clichés bourgeois. Mais
5
t, d’elle-même, avec les derniers opposants. Vous
pensiez
être dans l’histoire, dans le réel : on vous invite maintenant à n’en
6
du conformisme triomphant ? C’est bien là ce que
pensent
les marxistes, mais c’est aussi où apparaît leur erreur initiale sur
7
plémentaires. D’autres, plus nombreux qu’on ne le
pense
, souhaitent au moins et appellent cette synthèse, paraissant redouter
8
itiques qu’implique en fait leur attitude ? Et je
pense
en particulier aux membres du Mouvement des Groupes, qui représentent
9
ement, pour justifier une action tout inverse. Je
pense
qu’il faut aller plus loin60. La déviation matérialiste du marxisme n
10
leurs personne — non pas même Marx, quoi qu’on en
pense
souvent — n’a su définir clairement. Mais je retiens que l’une et l’a
11
e, ont largement sauvé l’honneur de leur pays. Je
pense
aux ouvrages publiés par MM. Henri Strohl, J. Vignaud et Lucien Febvr
12
imple rappel de l’ordre dans lequel le Traité fut
pensé
. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue d’une « con
13
ncrètement. D’où ce sentiment, quand nous voulons
penser
telle idéologie, de nous trouver diminués dans notre énergie totale.
14
la réalité centrale, impensable et qui permet de
penser
. Nous voudrions dégager ici, à titre d’exemple, quelques-unes des con
15
umaine, c’est à une société de personnes que l’on
pense
. L’homme n’atteint l’universel qu’à travers le personnel. Originalité
16
ion — bien au contraire ! — mais que le risque de
penser
est actuel (D. R.). 2. Je retrouve dans les papiers posthumes d’Arn
17
rd, le 19 mai 1931, il le passe chaque fois qu’il
pense
, encore que peut-être l’acte de penser, au sens plein et cartésien du
18
fois qu’il pense, encore que peut-être l’acte de
penser
, au sens plein et cartésien du mot, soit infiniment plus difficile et
19
cis et limité, celui de l’information, nous avons
pensé
que nous devions collaborer avec des camarades venant d’autres organi
20
Partagez-vous ma naïveté ? Et M. Fernandez, qu’en
pensait
-il, écrivant cela ? Dans quelle illusion ai-je vécu ? Ce n’est rien d
21
ncipe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêtes.
Pensez
donc, deux femmes seules ! — C’est que je suis chômeur moi-même, Mada
22
ns cette heure suspendue, il vaut mieux cesser de
penser
. Que penserais-je, ici, d’humain, d’actif ? Ici où je suis sans proch
23
re suspendue, il vaut mieux cesser de penser. Que
penserais
-je, ici, d’humain, d’actif ? Ici où je suis sans prochain, à cette he
24
arrière-pensée rode ici ? La mauvaise habitude de
penser
« librement » ? Le goût des chimères précises ? 10 novembre 1934 Obse
25
la construction de cette maison… On n’y avait pas
pensé
? Je passe au fond, dans une chambre obscure mais qui me paraît propr
26
« Elle ne voulait même plus toucher à la viande,
pensez
! Il ne faut pas croire que la viande soit un si bon remède comme on
27
it du poulet, elle n’y avait pas goût. Alors j’ai
pensé
lui faire du bouillon de poulet, ça lui a fait de l’avantage. Voyez !
28
richesse et pauvreté, tous ces vocables dont nous
pensions
qu’ils exprimaient les lieux communs sur quoi repose, tacitement, la
29
c’est-à-dire truquée, avec tel ou tel ouvrier. On
pensera
que de tout temps la traduction du langage surveillé des écrivains da
30
que fois de gros rires. L’homme du peuple — et je
pense
qu’il en va de même du bourgeois peu cultivé, et sans doute de tout c
31
ment ; de partager avec eux ce que l’on sait ! Je
pense
aux auditoires bourgeois, à leurs airs entendus, à leurs vagues souri
32
à plate couture, régulièrement. Mais faut-il donc
penser
que les communistes, eux, savent pourquoi ils le sont, et connaissent
33
il faudrait guérir. Mais je ne puis m’empêcher de
penser
que ces « illettrés » sont peut-être moins bas que ces « assurés ». C
34
availler, pour autant que son vrai travail est de
penser
. Mais je l’appelle chômeur, faute d’autre terme, s’il n’a plus la pos
35
le, sauf gâtisme précoce. Ce n’est pas un mal, je
pense
, si je suis heureux, bien que sans ressources. Mais d’autre part, est
36
t parmi les mieux rentés de ce pays. Faut-il donc
penser
que les partis expriment tout simplement des attitudes morales différ
37
nous pas entrés dans la grande cuisine qui était,
pensions
-nous, tout leur logis — nous avions cru comprendre que les autres piè
38
siéger et siéger encore. Je ne sais ce qu’il faut
penser
de la poésie, mais pour ce qui est de la politique, je m’en porte gar
39
pris pour des gens raisonnables. Voilà pourquoi,
pensais
-je, ils méprisent l’ombre, et la mésestiment gravement. Mais encore ?
40
s râpés, ne la renseignent pas clairement. Et que
penser
d’un « Parisien » qui manifeste l’intention de rester ici tout l’hive
41
ersés tous les vingt ans de fond en comble. Je ne
pense
pas que la transcendance puisse jamais être « simplement la nature ».
42
rancs. Cette fortune provenait d’une malédiction,
pensait
-il. Il l’avait donc dilapidée sans compter, mais surtout en dons géné
43
oivent pas de malaise. D’autres, qui s’essaient à
penser
en fin de semaine, comme on fait un peu d’ordre dans l’appartement, r
44
udain, sur son lit de mort, cette phrase : Je ne
pense
pas que ce soit mauvais, ce que j’ai dit, mais je ne l’ai dit que pou
45
nnera de la force à son attaque, et lui assurera,
pense-t
-il, la victoire.84 ⁂ De cette œuvre considérable, il ne saurait êtr
46
is on se juge tout de même là-dessus… Je sors, je
pense
à autre chose, à quelque chose qui n’est pas d’ici. Et déjà je ne com