1 n pressent chez Kafka des intentions morales, une philosophie , et la recherche au moins d’une théologie. Tout cela, qui n’est pas e

2 (Thèses sur Feuerbach). 43. Marx, Critique de la philosophie hégélienne du droit. 44. Au sens le plus large du terme, qui peut dé

3 cer la critique des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en user, certes, mais elle ne suffit pas. « Être

4 » Que reste-t-il de ce que nous nommons culture ? Philosophie , beaux-arts, fictions écrites, science, industrie, tout cela est sacr

5 uvons plus éprouver en présence de la plupart des philosophies de naguère et d’aujourd’hui, telles qu’elles se présentent à nous. Av

6 Si notre monde tient encore debout, c’est que les philosophies qui le partagent restent gratuites, relativistes et inactuelles dans

7 nne, précisément, d’actualisations partielles des philosophies que nous repoussons ? Nous serions mal venus à le nier. Si le monde d

8 qu’il y a dans le monde plus d’actualité que nos philosophies n’en peuvent concevoir. Et s’il y a du désordre, c’est que ces philos

9 concevoir. Et s’il y a du désordre, c’est que ces philosophies sont tout de même moins inopérantes que souvent elles ne voudraient l

10 agesse vulgaire appelle « prendre les choses avec philosophie  »… Ceci nous amène à constater que : 1° Si on ne part pas de l’acte,

11 onnaître qu’un tel discours, dans l’état de notre philosophie , paraîtra peu philosophique. Personne, mieux que Kierkegaard, n’a su

12 ouvons faire comprendre la véritable valeur d’une philosophie de l’acte qu’en montrant comment ses caractères principaux, tels que

13 Pourquoi voulez-vous — ou veulent-ils — que la philosophie se purifie de théologie ? La théologie vaut bien la science. C’est mê

14 Rougemont », Bulletin de la Société française de philosophie , Paris, décembre 1937, p. 204. x. Lettre publiée parmi les réactions