1
méprendre à un cauchemar. Mais alors que tant de
poètes
s’efforçaient à la même époque de délirer méthodiquement, et de broui
2
s marques de mépris hautain dont se gratinent les
poètes
, les essayistes et les politiciens modernes, avec une fureur sans exe
3
r le même Maïakovski : Il a été et il demeure le
poète
le meilleur, le plus talentueux de notre époque soviétique. L’indiffé
4
cation. Une excentricité du sort a fait de lui un
poète
allemand. Les autres ont toujours cru à cette fable, mais dirait-on,
5
e les suites sont assez pittoresques pour qu’un «
poète
» — au sens banal du terme — préfère en ignorer la cause ? L’on s’éto
6
ait puissant d’un désir — reviendra s’asservir le
poète
… ⁂ C’est une des gloires du romantisme allemand que d’avoir su élever
7
it de toutes les forces de son génie universel de
poète
, de philosophe, d’ironiste et de théologien. Il se trouvait devant un
8
e est littéraire : ce sont les dramaturges et les
poètes
du Nord, dont le plus grand nom est Ibsen. La seconde philosophique :