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rocès, Le Château, et Amérique. Le regard qu’il y
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sur le monde est d’une précision proprement angoissante. Il considère
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lle des défenseurs de l’esprit pur : l’erreur qui
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l’homme à croire que la cause de tous ses malheurs est dans les chose
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r la personne — dans mon vocabulaire. Ma critique
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sur l’essentiel du marxisme, alors que la critique marxiste porte sur
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ntiel du marxisme, alors que la critique marxiste
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sur un christianisme dénaturé. Et l’essentiel du marxisme, je le répè
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nde et ses formes mauvaises. Dès maintenant, elle
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témoignage en faveur du fait accompli d’une révolution humaine. Le ch
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chrétien, il sait qu’il est membre d’un corps qui
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toutes les marques du péché. Il est alors en face du monde, et au nom
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st la loi de Dieu — qui définit la vérité —, elle
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en elle la règle permanente de toute action et de toute pensée. Vraie
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e. Vraie mesure donc, et parfaitement commune. On
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l’Arche au-devant des armées, dans la guerre, comme le symbole de l’u
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, et en même temps le respect religieux qu’on lui
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. Peut-être n’est-il pas excessif de voir dans cette passion contradic
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u’on peut écrire n’importe quoi, sans ce que cela
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à conséquences, ce romancier s’est condamné lui-même, en fait, à ne p
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e. Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la
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entrebâillée. Une dernière bûche fume, il fait presque froid. Dans ce
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illée trop lucide peut-être, puisque le monde n’y
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plus d’ombres. Je me souviens de ces nuits de Paris, pleines d’appels
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laignent du froid. Le fourneau est rouge, mais la
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donne au nord-ouest, d’où vient le vent le plus glacial, depuis des s
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asteur, si on pouvait entrer par-derrière, par la
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de la sacristie, on viendrait bien ! Mais on est lâches ! — Et chez e
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ie, mais pour ce qui est de la politique, je m’en
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garant, c’est parfaitement vrai. Voilà qui donne toute la mesure (la
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rénove en l’homme son élan vers le monde. Elle le
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au-devant de tout, comme un peu en avant de lui-même, là où il peut d
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ne allée bordée de rosiers. L’allée aboutit à une
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de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hau
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raiment plus gai qu’ascétique. Dans le chai, à la
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un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier. On distingu
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lage se termine au bout de notre jardin. Passé la
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, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne la panse de l’é
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ndis que j’écris à ma table, j’entends grincer la
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du jardin. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accour
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les rosiers. Je trouve, à tâtons, le verrou de la
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du fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village,