1
encement et bienheureux est celui qui dans sa fin
possède
son commencement ». Mais l’homme déchu de son origine éternelle a per
2
et le donne aux pauvres, par exemple, ou si tu ne
possèdes
pas de bien, cesse d’en désirer la possession, et vis comme un chréti
3
par la fin que visait l’espérance communiste. Il
possède
déjà l’essentiel, que Marx voyait au terme de l’histoire : la personn
4
relatif au don parfait qu’il a reçu en Christ. Il
possède
en lui-même la mesure d’une perpétuelle transformation, nécessaire da
5
la coutume pastorale des temps d’Abraham. Nous ne
possédons
pas un renseignement d’ordre profane, qui nous explique pourquoi cett
6
son sérieux dernier, on peut soutenir que l’homme
possède
au moins « un faible libre arbitre »34 dans les choses du salut. Mais
7
comme toutes les choses trop naturelles que l’on
possède
. Peter, lui, le connaît, mais, parce qu’il l’a vendu. (Ne connaît-on
8
us sacré, qui est le pouvoir de création que l’on
possède
, c’est naturel ; mais non du tout qu’on en ait honte, semble-t-il. En
9
quel luxe d’énergie ou d’invention qui, s’ils les
possédaient
vraiment, feraient de leurs détenteurs non point des écrivains mais d