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Mais alors, comment ne pas voir que ce mouvement
présente
, dans sa forme, avec le mouvement du chrétien (qui est sa lutte contr
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tar du chrétien, le marxiste croit que la société
présente
n’a pas le droit de déterminer le tout de l’homme, et ne le peut pas.
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t, du point de vue religieux, la situation qui se
présentait
à Marx ? C’était celle de la Restauration. Professeurs et bourgeois l
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t de l’homme : son origine, sa fin, et sa mission
présente
. Le chrétien sait qu’il vient de Dieu, le Créateur ; qu’il va vers le
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ction du chrétien : contre le monde dans sa forme
présente
, et pour le monde restauré dans la Promesse. Il faut aller plus loin
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par les ressemblances formelles indiscutables que
présentent
la volonté du vrai chrétien et celle du communiste militant, ont tent
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uler simplement : la fin dernière du chrétien est
présente
en chacun de ses actes, ou bien n’est pas ; tandis que la fin dernièr
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ne beaucoup de braves gens au service d’une cause
présentée
comme une valeur de pères de famille. C’est en vérité la croisade du
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e le mouvement effectif qui supprimera la réalité
présente
. Les conditions de ce mouvement sont données par cette situation » (M
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on fondement, à son contenu et à son but. Elle ne
présente
rien que l’on puisse comparer, fût-ce le plus superficiellement, à un