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t c’est pourquoi la Parole, parmi nous, n’est que
promesse
et vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prop
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forme présente, et pour le monde restauré dans la
Promesse
. Il faut aller plus loin que cette affirmation tout évidente. Non seu
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ue nous voyons gagner toutes les églises, est une
promesse
à laquelle nous devons croire de toute la force de notre foi. Aussi n
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paradoxe : Israël n’eût pas eu d’histoire sans la
promesse
que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tombe » avec la miss
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ne menace et une angoisse, au moins autant qu’une
promesse
. Une menace pour les « intérêts immédiats » qui se voient par trop né
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me, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la
promesse
qu’elle portait. ⁂ Revenons encore à Josèphe : Quant à ce que l’on n
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endu à la Loi, qui était elle-même suspendue à la
promesse
messianique donnée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette pro
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ée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette
promesse
, enfin, s’est incarnée. Et les juifs l’ont méconnue prenant prétexte
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Elle étend à l’humanité entière le bénéfice de la
Promesse
qu’il a reçue, cependant que son destin final demeure entre les mains
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ue nous avons à prendre position, mais au nom des
promesses
de la foi, et dans une perspective missionnaire qui réduit à leurs ju
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ience éternelle de Dieu, qui ne peut faillir à sa
promesse
, et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
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prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa
promesse
, une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst