1 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
1 t c’est pourquoi la Parole, parmi nous, n’est que promesse et vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prop
2 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
2 forme présente, et pour le monde restauré dans la Promesse . Il faut aller plus loin que cette affirmation tout évidente. Non seu
3 ue nous voyons gagner toutes les églises, est une promesse à laquelle nous devons croire de toute la force de notre foi. Aussi n
3 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
4 paradoxe : Israël n’eût pas eu d’histoire sans la promesse que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tombe » avec la miss
5 ne menace et une angoisse, au moins autant qu’une promesse . Une menace pour les « intérêts immédiats » qui se voient par trop né
6 me, qu’à cause de l’absolu de sa mesure, et de la promesse qu’elle portait. ⁂ Revenons encore à Josèphe : Quant à ce que l’on n
7 endu à la Loi, qui était elle-même suspendue à la promesse messianique donnée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette pro
8 ée par Dieu dès les temps primitifs72. Mais cette promesse , enfin, s’est incarnée. Et les juifs l’ont méconnue prenant prétexte
9 Elle étend à l’humanité entière le bénéfice de la Promesse qu’il a reçue, cependant que son destin final demeure entre les mains
10 ue nous avons à prendre position, mais au nom des promesses de la foi, et dans une perspective missionnaire qui réduit à leurs ju
4 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
11 ience éternelle de Dieu, qui ne peut faillir à sa promesse , et auquel nul obstacle ne s’oppose. Que devient alors notre effort ?
12 prévu éternellement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse , une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce myst