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rd qu’il y porte sur le monde est d’une précision
proprement
angoissante. Il considère notre vie quotidienne, mais avec une minuti
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cesse d’être humain. Car l’homme n’a d’existence
proprement
humaine que lorsqu’il participe à la transformation du monde. Autreme
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t le tort de la fonder sur l’Esprit, ce qui était
proprement
la poser sur la tête : que le génie de Marx l’a remise sur ses pieds
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et il s’agit de transformer en tant que l’on est
proprement
humain (c’est-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour Paul, et
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-dire Barth et Marx !54 C’est ici qu’une critique
proprement
théologique se révèle seule capable de marquer les limites existant e
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in, suffit à compléter, si je puis dire, l’action
proprement
religieuse. Et j’entends bien que les sacrifices qu’ils font ne sont
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s. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas
proprement
luthérien, mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et
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impasse absolue, nous contraint à une conception
proprement
révolutionnaire (ou « changement de plan »), qui seule nous restitue