1 ons par nous avouer, passons outre à nos vieilles pudeurs  : c’est le début de la cure. Ensuite il faudra essayer de réviser nos

2 muler le symbole enfermé dans le mythe. Serait-ce pudeur d’artistes ? Pudeur tout court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit l

3 ermé dans le mythe. Serait-ce pudeur d’artistes ? Pudeur tout court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit leurs contes sans jam

4 irituel. Comme on peut le voir par l’examen de la pudeur . Ne serait-ce point pour la raison qu’en beaucoup d’êtres la créativi

5 paraît avoir son siège dans le seul sexe, que la pudeur s’est localisée là ? Ne serait-ce point pour cette raison que l’homme

6 t se déplacer dans le cerveau ou dans le cœur. La pudeur aussitôt affecte la pensée, les sentiments. On parle « d’étalage impu

7 en ait honte, semble-t-il. En vérité, la mauvaise pudeur provient de ce que le corps et l’âme se distinguent de plus en plus,

8 amour qui se refuse à l’étreinte. Et pourquoi la pudeur cesse-t-elle d’exister — normalement — quand deux êtres s’aiment ? Pa